Cette collection de petits moments du quotidien, parfois délicieux, le plus souvent anecdotiques et scandés par les chansons de Joséphine Baker, est dominée par la figure rayonnante de Catherine Frot. (...) pas un échec mais un film somme toute consensuel, bien gentil, destiné parfois aux caissières et aux shampouineuses dont Schmitt se moque un peu.

• http://www.ledevoir.com/2007/09/29/158712.html

À l'image de sa pimpante héroïne, ODETTE TOULEMONDE n'est jamais très loin du ridicule. Or, n'eut été du regard tendre que Schmitt jette sur les petites gens - et de l'immense talent de Frot -, l'ensemble aurait pu tomber dans l'eau de rose indigeste et le gnangnan.

• http://www.voir.ca/une.aspx?zone=1

(...) ahurissante compilation guimauve de clichés sur le thème « aime-toi toi-même pour aimer les autres », à moins que ce ne soit l’inverse. Les numéros de Catherine Frot mimant-chantonnant du Joséphine Baker, virgules musicales d’une désarmante maladresse, ne sauvent rien…

• http://www.telerama.fr

Si l’on est ravi de revoir Catherine Frot en candide provocante, le reste est moins réjouissant. La comédienne incarne la figure de la lectrice innocente qui rive leur clou aux pédants par sa sincérité, réglant les comptes de Schmitt, écrivain populaire (...), avec l’intelligentsia qui le dédaigne. Bref, une Amélie Poulain d’âge mûr qui brosse le public dans le sens du poil.

• http://www.humanite.fr

(...) ODETTE TOULEMONDE est la première réalisation de l'auteur de théâtre (...), qui imagine la rencontre entre une vendeuse de grand magasin et un écrivain (...) dépressif. Une réplique d'anthologie (...) ne suffit pas à sauver cette comédie romantique ultraracoleuse qui oppose le petit peuple (positif, drôle, altruiste, rêveur) aux élites culturelles (cyniques, condescendantes, égoïstes).

• http://www.liberation.fr