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Le Tyran des fourmis (The Ant Bully)

É.-U. 2006. Film d'animation de John A. Davis . Après qu'un garçon eut détruit leur nid, des fourmis ont recours à la magie afin de le punir en le réduisant à leur taille. Scénario mince à l'humour juvénile et parfois grossier. Graphisme peu original, copié sur celui de «Fourmiz». Quelques bonnes performances vocales.

Général
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Le Tyran des fourmis (The Ant Bully)

Général Général

É.-U. 2006. Film d'animation de John A. Davis .

Après qu'un garçon eut détruit leur nid, des fourmis ont recours à la magie afin de le punir en le réduisant à leur taille. Scénario mince à l'humour juvénile et parfois grossier. Graphisme peu original, copié sur celui de «Fourmiz». Quelques bonnes performances vocales.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Warner Bros.
Le petit Lucas Nickle, le souffre-douleur des enfants du quartier, évacue sa frustration en inondant une fourmilière. La colonie d'insectes est désemparée devant la catastrophe. C'est alors que leur sorcier concocte une potion permettant de réduire magiquement le garçon à leur taille. Aussitôt, les bestioles lui font un procès au terme duquel il est condamné à travailler avec elles, tel un ouvrier anonyme, jusqu'à ce que preuve soit faite de sa compréhension du fait-fourmi. Lorsqu'un exterminateur engagé par le père du gamin vient s'attaquer aux insectes, Lucas prend les devants afin de sauver la colonie d'une destruction certaine.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Bien que THE ANT BULLY soit tiré d'un livre pour enfants de John Nickle, il est difficile de ne pas le comparer aux deux films d'animation de 1998 mettant en scène des insectes parlants, soit A BUG'S LIFE et ANTZ. D'autant que le film de John A. Davis copie délibérément le graphisme de ce dernier, en plus de proposer un récit similaire. La seule différence majeure entre les deux oeuvres consiste en l'introduction d'un humain dans la fourmilière. Or, le personnage en question, antipathique et geignard, s'avère être une nuisance bien plus qu'un atout pour l'histoire. Le manque d'originalité de l'ensemble serait excusable, le divertissement eut-il été efficace. Or, à l'écran se succèdent une série de plaisanteries juvéniles au goût souvent douteux. Toutefois, certaines performances vocales sont agréablement dynamiques, à commencer par celle de Nicolas Cage, délirant en sorcier-fourmi.

Texte : Kevin Laforest

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