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Le Pacte (The Covenant)

É.-U. 2006. Drame fantastique de Renny Harlin avec Steven Strait, Laura Ramsey, Sebastian Stan. Quatre garçons unis par des pouvoirs surnaturels hérités de leurs ancêtres voient leur autorité défiée par l'arrivée d'un autre descendant de leur lignée. Scénario peu approfondi et décousu. Personnages mal définis. Réalisation soignée aux ambiances sombres. Interprétation sans éclat. (sortie en salle: 7 novembre 2006)

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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Le Pacte (The Covenant)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 2006. Drame fantastique de Renny Harlin avec Steven Strait, Laura Ramsey, Sebastian Stan.

Quatre garçons unis par des pouvoirs surnaturels hérités de leurs ancêtres voient leur autorité défiée par l'arrivée d'un autre descendant de leur lignée. Scénario peu approfondi et décousu. Personnages mal définis. Réalisation soignée aux ambiances sombres. Interprétation sans éclat. (sortie en salle: 7 novembre 2006)

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Lorsqu'elle arrive sur le campus d'une école privée très huppée de la Nouvelle-Angleterre, Sarah attire immédiatement l'attention des «Fils d'Ipswitch», un groupe de quatre garçons qui font la pluie et le beau temps au village. De leurs ancêtres, qui ont fondé la colonie d'Ipswich en 1692, ces jeunes ont hérité des pouvoirs surnaturels leur permettant d'effectuer divers exploits hors du commun. L'ennui, c'est qu'à chaque fois qu'ils utilisent ces pouvoirs, ils vieillissent prématurément. La tentation d'y recourir est néanmoins très grande pour ces adolescents avides de sensations fortes, surtout lorsqu'arrive à l'école un autre descendant des colons d'Ipswitch, qui défie le quatuor et met la vie de Sarah en danger.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après EXORCIST: THE BEGINNING, Renny Harlin poursuit dans la veine fantastique, avec un résultat tout aussi décevant. De fait, les effets spéciaux sophistiqués et la réalisation soignée aux ambiances sombres ne parviennent guère à rehausser le niveau d'un scénario mince, mal construit et juvénile. Car pour plaire au public adolescent, les auteurs ont mis l'accent sur les amourettes peu crédibles de quelques protagonistes, au détriment de tout le reste. Comme dans ses précédents CLIFFHANGER et THE LONG KISS GOODNIGHT, Harlin privilégie des gros plans souvent peu significatifs, entrecoupés de scènes d'explosion et de poursuites automobiles, au demeurant plutôt efficaces. L'ensemble apparaît néanmoins vide et sans éclat. À l'image des interprètes, qui se distinguent avant tout par leur beauté plastique.

Texte : Natalia Wysocka

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