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La Panthère rose (The Pink Panther)

É.-U. 2006. Comédie policière de Shawn Levy avec Steve Martin, Jean Reno, Kevin Kline. À Paris, un inspecteur gaffeur enquête sur le meurtre de l'entraîneur de l'équipe française de soccer. Récit passe-partout reprenant avec un bonheur inégal un personnage créé par Blake Edwards et Peter Sellers. Slapstick pas toujours inspiré. Réalisation compétente. Jeu plein d'aplomb de S. Martin.

Général
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La Panthère rose (The Pink Panther)

Général Général

É.-U. 2006. Comédie policière de Shawn Levy avec Steve Martin, Jean Reno, Kevin Kline.

À Paris, un inspecteur gaffeur enquête sur le meurtre de l'entraîneur de l'équipe française de soccer. Récit passe-partout reprenant avec un bonheur inégal un personnage créé par Blake Edwards et Peter Sellers. Slapstick pas toujours inspiré. Réalisation compétente. Jeu plein d'aplomb de S. Martin.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
MGM
À Paris, en plein match de championnat, l'entraîneur de l'équipe française de soccer est assassiné et sa bague sertie du diamant «la panthère rose» disparaît. L'inspecteur en chef Dreyfus mise sur la résolution de cette affaire pour obtenir une décoration longtemps convoitée. Afin de mener discrètement ses recherches, il fait appel à l'agent Jacques Clouseau, un policier de village incompétent et gaffeur qu'il désigne aux médias comme le véritable responsable de l'enquête. Promu inspecteur, Clouseau fait équipe avec Ponton, un espion de Dreyfus, et obtient l'aide de sa dévouée secrétaire Nicole. Au tableau des suspects défilent une pop star américaine, un joueur-étoile de l'équipe, un homme d'affaires influent et l'adjoint du défunt.

L’AVIS DE MEDIAFILM

À première vue, l'idée de faire revivre à l'écran le personnage de Jacques Clouseau, création du génial et regretté Peter Sellers et du réalisateur Blake Edwards, frôle l'hérésie. Or, c'est avec beaucoup de conviction que l'acteur et coscénariste Steve Martin s'est lancé dans ce projet risqué. Si l'aplomb de la vedette procure au spectacle quelques moments amusants, le scénario passe-partout comporte en revanche trop de gags faciles (à base de viagra et de flatulences) ou qui tombent à plat, et l'exécution des numéros de slapstick se révèle rarement inspirée. On compte néanmoins, ici et là, quelques trouvailles désopilantes. La réalisation de Shawn Levy, bien que compétente, ne nous fait guère oublier le talent comique et le sens du rythme de Blake Edwards. Outre le dynamique Kevin Kline, les interprètes jouent les faire-valoir de Steve Martin avec une belle générosité.

Texte : Louis-Paul Rioux

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