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La Ferme en folie (Barnyard)

É.-U. 2006. Film d'animation de Steve Oedekerk . Une vache qui ne pense qu'à s'amuser doit faire face à la musique lorsque son père adoptif est tué par les coyotes qui menacent leur ferme. Scénario peu original. Quelques moments amusants. Spectacle assez coloré et vivant. Animation numérique correcte sans plus. (sortie en salle: 6 novembre 2006)

Général
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La Ferme en folie (Barnyard)

Général Général

É.-U. 2006. Film d'animation de Steve Oedekerk .

Une vache qui ne pense qu'à s'amuser doit faire face à la musique lorsque son père adoptif est tué par les coyotes qui menacent leur ferme. Scénario peu original. Quelques moments amusants. Spectacle assez coloré et vivant. Animation numérique correcte sans plus. (sortie en salle: 6 novembre 2006)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Musique :
Distributeur :
Paramount
Dans une ferme où les animaux sont, à l'insu du propriétaire, doués de comportements humains, la vache mâle Otis brille par son insouciance. Toujours prêt à chanter, danser ou jouer des tours pendables, il exaspère son père adoptif Ben, respecté doyen des lieux, qui s'est donné comme mission de protéger les animaux des coyotes qui convoitent le poulailler. Un soir où Otis devait faire un tour de garde mais a plutôt continué à fêter, Ben est tué par les dangereux prédateurs. Rongé par la culpabilité, Otis accepte néanmoins de succéder au défunt comme protecteur de la ferme, encouragé par la charmante vache enceinte Daisy. Mais les coyotes s'avèrent de rudes adversaires.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Scénariste et producteur de l'acclamé JIMMY NEUTRON: BOY GENIUS, Steve Oedekerk n'a pas eu la main aussi heureuse avec ce nouveau film d'animation, dont il signe lui-même la réalisation. D'une part, le scénario peu original reprend la formule convenue du récit initiatique ponctué de diverses épreuves. D'autre part, hormis quelques moments amusants, le concept des animaux qui font la fête pendant que les humains ont le dos tourné n'est pas suffisamment exploité. Par ailleurs, l'idée de doter cette ménagerie de vaches «mâles» apparaît pour le moins étrange. L'animation numérique est correcte sans plus, tandis que la texture des animaux évoque souvent le caoutchouc. Nonobstant tout cela, ce divertissement assez coloré et vivant, qui saura surtout divertir les jeunes enfants, bénéficie de performances vocales enjouées.

Texte : Louis-Paul Rioux

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