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The Haunted Airman

G.-B. 2006. Drame psychologique de Chris Durlacher avec Robert Pattinson, Julian Sands, Rachael Stirling. Revenu de la guerre paraplégique et traumatisé, un aviateur britannique est hospitalisé dans une clinique psychiatrique où ses cauchemars redoublent d'intensité. Téléfilm ennuyeux adapté d'un roman de Dennis Wheatley. Intrigue laborieuse flirtant de façon malhabile avec le fantastique. Réalisation inégale, alternant cadrages élaborés et prises de vues frôlant l'amateurisme. Musique suggestive. Interprétation corre

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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The Haunted Airman (The Haunted Airman)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

G.-B. 2006. Drame psychologique de Chris Durlacher avec Robert Pattinson, Julian Sands, Rachael Stirling.

Revenu de la guerre paraplégique et traumatisé, un aviateur britannique est hospitalisé dans une clinique psychiatrique où ses cauchemars redoublent d'intensité. Téléfilm ennuyeux adapté d'un roman de Dennis Wheatley. Intrigue laborieuse flirtant de façon malhabile avec le fantastique. Réalisation inégale, alternant cadrages élaborés et prises de vues frôlant l'amateurisme. Musique suggestive. Interprétation corre

Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Chris Durlacher
D'après le roman de Dennis Wheatley
Photographie :
Musique :
Montage :
Revenu de la guerre paraplégique, l'aviateur britannique Toby Jugg, cloué à son fauteuil roulant, est la proie de cauchemars récurrents. Sur les conseils de sa tante Julia, il est admis dans la clinique spécialisée du docteur Hal Burns. Malgré les soins attentifs de ce dernier et de son infirmière dévouée, les cauchemars du jeune homme redoublent d'intensité. Aux portes de la folie, le soldat en vient à croire qu'un complot se trame contre lui et que les intentions du médecin et de sa parente ne sont pas aussi honnêtes qu'il le croyait.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Adapté d'un roman de Dennis Wheatley, ce téléfilm britannique au traitement des plus modestes s'appuie sur une intrigue laborieuse qui hésite constamment et de façon malhabile entre le drame psychologique, le fantastique et le mélodrame. Le dénouement, abrupt et absurde, accentue cette impression d'errement et d'indécision de l'auteur, sans fournir aucune clef ou piste d'analyse. La réalisation inégale alterne cadrages élaborés et prises de vues frôlant l'amateurisme, le tout surmonté d'une musique par trop suggestive. Face à Julian Sands, sobrement ambigu, Robert Pattinson (TWILIGHT) peine à nous faire croire à son personnage de héros romantique traumatisé.

Texte : Olivier Lefébure

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