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Invincible

É.-U. 2006. Drame sportif de Ericson Core avec Mark Wahlberg, Greg Kinnear, Elizabeth Banks. En 1976, un barman de 30 ans doué pour le football joint les rangs des Eagles de Philadelphie, galvanisant une population durement touchée par le chômage. Récit bien mené et touchant, inspiré de l'histoire vraie de Vince Papale. Milieu ouvrier dépeint avec chaleur. Réalisation efficace. Interprétation convaincante.

Général
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Invincible (Invincible)

Général Général

É.-U. 2006. Drame sportif de Ericson Core avec Mark Wahlberg, Greg Kinnear, Elizabeth Banks.

En 1976, un barman de 30 ans doué pour le football joint les rangs des Eagles de Philadelphie, galvanisant une population durement touchée par le chômage. Récit bien mené et touchant, inspiré de l'histoire vraie de Vince Papale. Milieu ouvrier dépeint avec chaleur. Réalisation efficace. Interprétation convaincante.

Genre :
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Durée :
Réalisation :
Hiver 1976. L'équipe de football des Eagles de Philadelphie termine au dernier rang de sa division, amplifiant la morosité d'une ville déjà durement frappée par le chômage. Pour remédier à la situation, le nouvel entraîneur Dick Vermeil offre une journée d'essai sur le terrain aux partisans qui souhaitent joindre les rangs des Eagles. Encouragé par ses amis, Vince Papale, un barman de trente ans récemment largué par son épouse, pose sa candidature, sans trop y croire. Impressionné par le talent naturel et la détermination du jeune homme, Vermeil décide de lui donner sa chance. À son premier match, Papale fait une embarrassante erreur de débutant. Mais la semaine suivante, contre les Giants de New York, l'équipe fétiche de sa nouvelle petite amie, la recrue brille sur le terrain et assure la victoire aux Eagles.

L’AVIS DE MEDIAFILM

De la part des studios Disney, on craignait un énième drame sportif pontifiant et patriotique à la MIRACLE, frappé du sceau «histoire vécue». Bonne nouvelle: par sa description chaleureuse d'un milieu ouvrier solidaire dans l'adversité, INVINCIBLE penche au contraire du côté du réalisme social façon FRIDAY NIGHT LIGHTS. Il en résulte un récit bien mené et plutôt touchant dans sa façon d'illustrer le rêve américain sans jamais chercher à plastronner. Pour sa première réalisation, le directeur-photo Ericson Core (PAYBACK, DAREDEVIL) signe une mise en scène efficace et expressive, notamment dans les vigoureuses séquences de football. Cela dit, le cinéaste abuse parfois du ralenti à des fins dramatiques. La reconstitution d'époque, crédible, est rehaussée par un choix approprié de chansons populaires des années 1970. Entouré d'interprètes solides, Mark Wahlberg campe un Vince Papale attachant et fort convaincant.

Texte : Louis-Paul Rioux

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