Goal II (Goal II - Living the Dream)

Name: Goal II
Director: Jaume Collet-Serra
Genre: Drame sportif
Duration: 116 min.

É.-U. 2006. Drame sportif de Jaume Collet-Serra avec Kuno Becker, Anna Friel, Stephen Dillane. Vedette de son équipe à Newcastle, un footballeur américain d'origine mexicaine réalise son rêve en devenant attaquant pour le Real Madrid. Scénario sans surprise et pétri de clichés. Réalisation clinquante. Interprétation très inégale.

Goal II (Goal II - Living the Dream)

Général

É.-U. 2006. Drame sportif de Jaume Collet-Serra avec Kuno Becker, Anna Friel, Stephen Dillane.

Vedette de son équipe à Newcastle, un footballeur américain d'origine mexicaine réalise son rêve en devenant attaquant pour le Real Madrid. Scénario sans surprise et pétri de clichés. Réalisation clinquante. Interprétation très inégale.

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Genre :

Année :

Durée :

Réalisation :

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Suzanne Villeneuve - Boom Vidéo

Interprètes :

Kuno Becker
Anna Friel
Stephen Dillane

site officiel

Après avoir été admis au sein de l'équipe de football de Newcastle, Santiago Munez se voit offrir un contrat de rêve avec le Real Madrid, à titre d'attaquant. Pour cet Américain d'origine mexicaine, c'est la consécration. Si bien que, dans son empressement de signer, il omet de consulter sa copine Roz, avec qui il vient d'emménager dans une nouvelle maison. Qu'à cela ne tienne, celle-ci accompagne son homme dans la capitale espagnole. Sur place, Munez découvre un monde enivré par la gloire et l'argent, et fait la rencontre d'un jeune garçon qui affirme être son frère.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Deuxième volet d'une trilogie sur le soccer, GOAL! 2 n'est pas s'en rappeler ANY GIVEN SUNDAY, qui portait lui aussi sur la gloire d'une étoile montante et les dérives liées à la fortune. Là s'arrête la comparaison avec l'oeuvre d'Oliver Stone, qui formulait chemin faisant une virulente (mais peu subtile) critique du copinage entre capitalisme et football américain. Jaume Collet-Serra (HOUSE OF WAX) se contente pour sa part d'aligner les poncifs du genre sans s'encombrer d'une quelconque réflexion. L'ensemble aurait pu être supportable si la mise en scène, outrageusement clinquante, n'empruntait pas tant à l'esthétique artificielle de la pub. L'interprétation très inégale alourdit le bilan de cette production décidément grossière et bas de gamme.

Texte : Luc Laporte-Rainville

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