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Film de peur 4 (Scary Movie 4)

É.-U. 2006. Comédie satirique de David Zucker avec Anna Faris, Craig Bierko, Regina Hall. Pour freiner une invasion extraterrestre, une travailleuse sociale doit trouver le meurtrier du garçon qui hante la maison d'une vieille dame malade. Parodie outrancière de divers films à succès. Scénario farfelu mais relativement cohérent. Humour juvénile et grossier. Réalisation compétente. Interprétation dans la note.

13 ans + (langage vulgaire)
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Film de peur 4 (Scary Movie 4)

13 ans + (langage vulgaire) 13 ans + (langage vulgaire)

É.-U. 2006. Comédie satirique de David Zucker avec Anna Faris, Craig Bierko, Regina Hall.

Pour freiner une invasion extraterrestre, une travailleuse sociale doit trouver le meurtrier du garçon qui hante la maison d'une vieille dame malade. Parodie outrancière de divers films à succès. Scénario farfelu mais relativement cohérent. Humour juvénile et grossier. Réalisation compétente. Interprétation dans la note.

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Engagée comme infirmière à domicile auprès d'une vieille dame malade, la travailleuse sociale Cindy Campbell s'entiche de son nouveau voisin, l'opérateur de grues divorcé Tom Ryan. Mais lorsque des envahisseurs extraterrestres se mettent à détruire les villes et à tuer toute forme de vie, ce dernier n'a d'autre choix que de prendre la fuite avec son fils adolescent et sa fillette. Restée derrière, Cindy en vient à comprendre que pour freiner cette invasion, il lui faut retrouver le père du garçon assassiné qui hante la maison de la vieille dame. Ses recherches la mènent à un village coupé du monde, où les habitants vivent comme au XIXe siècle.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Sans crier au génie, on se doit d'admettre que ce quatrième SCARY MOVIE apparaît moins bâclé que les précédents. Le réalisateur David Zucker et ses scénaristes, dont son complice d'AIRPLANE Jim Abrahams, ont pris cette fois pour cibles principales les films d'horreur ou d'épouvante WAR OF THE WORLDS, THE GRUDGE, THE VILLAGE et SAW, auxquels ils ont ajouté de façon incongrue mais amusante MILLION DOLLAR BABY et BROKEBACK MOUNTAIN. Or, malgré son caractère hautement farfelu, le scénario s'avère relativement cohérent dans sa manière d'assembler les intrigues disparates de ces différents films. De plus, la réalisation de métier réserve des effets spéciaux assez efficaces. Reste que les gags vraiment réussis ne sont pas légion, et que l'humour juvénile, volontiers scatologique, n'est guère neuf ou inspiré. Cela dit, les interprètes jouent le jeu de la parodie avec un bel entrain.

Texte : Louis-Paul Rioux

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