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Décadence III (Saw III)

É.-U. 2006. Drame d'horreur de Darren Lynn Bousman avec Tobin Bell, Shawnee Smith, Angus Macfadyen. Kidnappés par un tueur psychopathe et sa jeune assistante, divers individus sont soumis à d'horribles épreuves. Scénario tarabiscoté, prétexte à un étalage complaisant de scènes de tortures. Images sombres et laides. Montage tape-à-l'oeil. Interprétation quelconque. (sortie en salle: 7 novembre 2006)

16 ans + (violence, horreur)
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Décadence III (Saw III)

16 ans + (violence, horreur) 16 ans + (violence, horreur)

É.-U. 2006. Drame d'horreur de Darren Lynn Bousman avec Tobin Bell, Shawnee Smith, Angus Macfadyen.

Kidnappés par un tueur psychopathe et sa jeune assistante, divers individus sont soumis à d'horribles épreuves. Scénario tarabiscoté, prétexte à un étalage complaisant de scènes de tortures. Images sombres et laides. Montage tape-à-l'oeil. Interprétation quelconque. (sortie en salle: 7 novembre 2006)

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Réalisation :
John est un tueur en série psychopathe qui soumet ses victimes à des jeux cruels dont l'issue détermine s'ils auront ou non la vie sauve. Atteint d'une grave maladie qui risque de l'emporter à tout moment, celui qu'on surnomme le «Jigsaw killer» charge son assistante Amanda de kidnapper la chirurgienne Lynn Denlon. Il affuble celle-ci d'un collier piégé susceptible de lui faire exploser la tête si, par malheur, elle échoue à le maintenir en vie. John utilise ce sursis pour tourmenter de nouvelles victimes, dont un père de famille endeuillé à qui il fait jouer les rôles de juge et de bourreau dans des procès improvisés d'individus impliqués dans la mort accidentelle de son fils.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Loin de chercher à varier les ingrédients ou à bonifier la recette qui ont rendu populaires les deux premiers SAW auprès des amateurs de cinéma d'horreur, Darren Lynn Bousman, déjà responsable du second, persiste et signe dans la même veine racoleuse et complaisante. À l'exemple des films précédents, SAW III propose une intrigue tarabiscotée sur les thèmes de la vengeance et de la justice individuelle, prétexte à un étalage simpliste de scènes de tortures d'une violence inouïe. Le scénariste Leigh Whannell ne se soucie d'aucune vraisemblance dans la conduite du suspense et les rares éléments psychologiques du récit ne parviennent jamais à convaincre. Tout aussi navrante, la réalisation est handicapée par une photographie sombre et laide, tandis que le montage abuse d'effets tape-à-l'oeil qui deviennent extrêmement lassants. L'interprétation tout à fait quelconque finit d'enfoncer le clou.

Texte : Martin Girard

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