Wu Ji - La Légende des cavaliers du vent (Wu Ji)

Name: Wu Ji - La Légende des cavaliers du vent
Director: Chen Kaige
Genre: Drame d'aventures
Duration: 121 min.

Chin. 2005. Drame d'aventures de Chen Kaige avec Hiroyuki Sanada, Cecilia Cheung, Jang Dong-kun. Un général et un duc se disputent une princesse éprise d'un esclave. Récit superficiel aux ressorts shakespeariens. Scènes de combats d'arts martiaux élaborées mais dénuées de grâce. Effets spéciaux dérisoires. Interprétation dans la note.

Wu Ji - La Légende des cavaliers du vent (Wu Ji)

13 ans +

Chin. 2005. Drame d'aventures de Chen Kaige avec Hiroyuki Sanada, Cecilia Cheung, Jang Dong-kun.

Un général et un duc se disputent une princesse éprise d'un esclave. Récit superficiel aux ressorts shakespeariens. Scènes de combats d'arts martiaux élaborées mais dénuées de grâce. Effets spéciaux dérisoires. Interprétation dans la note.

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Genre :

Drame d'aventures

Année :

2005

Durée :

121 min.

Réalisation :

Chen Kaige

Pays :

Chine

Distributeur :

Les Films Séville

Interprètes :

Hiroyuki Sanada
Cecilia Cheung
Jang Dong-kun
Nicholas Tse
Liu Ye
Chen Hong

La petite Quingcheng fait un pacte avec une déesse: en échange de toutes les richesses, elle perdra chaque homme qu'elle aimera au cours de sa vie. Vingt ans plus tard, Quingcheng, devenue princesse, est sauvée d'une mort certaine par un chevalier en armure, dont elle tombe amoureuse sans même avoir vu son visage. Plus tard, lorsqu'elle se retrouve devant le général Guangming vêtu de la même armure, elle se donne à lui, croyant qu'il est son sauveur anonyme. Or, son bienfaiteur n'était autre que l'esclave Kunlun, lequel se lance à sa rescousse lorsque le vil Duc du Nord l'arrache au général dans l'espoir de l'épouser.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce conte épique évoque à la fois les vieilles légendes chinoises et les tragédies shakespeariennes. Les notions de destin et de fatalité y sont illustrées avec une certaine originalité, mais traitées sans réelle profondeur. Et pour cause: l'essentiel du film est consacré, sans grande surprise, aux séquences d'arts martiaux. Si les combats acrobatiques défiant les lois de la physique apparaissent spectaculairement démesurés, il leur manque toutefois la grâce de ceux que l'on retrouve dans TIGRE ET DRAGON d'Ang Lee ou LE SECRET DES POIGNARDS VOLANTS de Zhang Yimou. Par ailleurs, la piètre qualité des effets spéciaux désamorce les scènes à grand déploiement, dont celle où le personnage de Kunlun est poursuivi par un troupeau de taureaux. À l'inverse, soulignons les décors somptueux et les costumes flamboyants. Les interprètes jouent dans la note, mais aucun ne se distingue vraiment.

Texte : Kevin Laforest

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