É.-U. 2005. Science-fiction de George Lucas avec Ewan McGregor, Hayden Christensen, Ian McDiarmid. Convoitant un pouvoir indicible, un chevalier Jedi en vient à trahir les siens en s'associant à un vil sénateur qui complote pour devenir empereur de la galaxie. Tragédie épique au traitement solennel. Illustration luxuriante et grandiose. Nombreux morceaux de bravoure spectaculaires. Réalisation parfois lourde. Interprètes de première force.
Convoitant un pouvoir indicible, un chevalier Jedi en vient à trahir les siens en s'associant à un vil sénateur qui complote pour devenir empereur de la galaxie. Tragédie épique au traitement solennel. Illustration luxuriante et grandiose. Nombreux morceaux de bravoure spectaculaires. Réalisation parfois lourde. Interprètes de première force.
Cet ultime volet de la saga STAR WARS se démarque résolument des cinq autres épisodes. Ici, George Lucas s'éloigne du film de série à la FLASH GORDON, qui servait de point d'ancrage à la trilogie originale, pour aborder de front la tragédie épique que laissait déjà présager le précédent épisode. Encore plus sombre que THE EMPIRE STRIKES BACK ne l'était à l'époque, REVENGE OF THE SITH se présente comme une oeuvre à la fois grandiloquente et solennelle, appuyée par une orchestration chorale aux accents wagnériens. Cependant, l'approche de Lucas manque de raffinement, ce qui nous vaut encore une fois des scènes de dialogues souvent artificielles, ainsi qu'une réalisation classique un peu lourde. Ces lacunes ne suffisent toutefois pas à entacher la luxuriante et grandiose illustration de l'ensemble. Les différents mondes créés par Lucas prennent vie devant nos yeux ébahis par tant de richesses visuelles et sonores. De nombreux morceaux de bravoure spectaculaires viennent ponctuer un récit habilement construit à rebours, afin d'assurer la continuité avec le film de 1977, même si la cohérence narrative ne résiste pas toujours à l'analyse. Il se dégage par ailleurs de la séquence finale une grande tristesse empreinte de nostalgie à la vue de Darth Vader et des jumeaux Luke et Leia. Les interprètes sont de première force, en particulier l'incisif Ian McDiarmid.
Texte : André Caron
Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières
Conclusion épique et tragique de la prélogie. Réalisation inégale. Première partie dramatiquement bien amené. Musique impériale de John Williams. Duel aux sabres laser admirablement chorégraphié. Scène stylisée de la transformation d'Anakin en Vader. Interprétation satisfaisante.
J'attribue à ce film la Cote
Par : Mathieu Desharnais, Trois-Rivières
Ce 3e volet a des défauts, mais Lucas s'améliore de film en film avec des scènes plus recherchées sur le plan artistiques et symboliques. Le film aurait pu durer 3 heures pour évoquer davantage la conversion d'Anakin en Darth Vader, car la première partie prépare de façon complexe cet aspect. Ma cote serait entre (3) et (4).
J'attribue à ce film la Cote
Par : Louis-François Archambault-Therrien, Montréal
Voilà un spectacle grandiose pour les spectateurs! REVENGE OF THE SITH se veut plus dramatique et épique que ses prédécesseurs, et c'est réussis. Cependant, on regrette que Christensen ne se soit pas vraiment amélioré. Mais ce n'est pas suffisant pour gâcher le film.
J'attribue à ce film la Cote
Par : Alexis Laperle, Sherbrooke
Film spectaculaire avec l'une des meilleurs soundtrack de l'histoire, mon deuxième Star Wars préféré, quelques dialogues mauvais et Christensen parfois excellent parfois horrible, malgré ça c'est un des films les plus sous-évalués des années 2000
J'attribue à ce film la Cote