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Rebond (Rebound)

É.-U. 2005. Comédie de Steve Carr avec Martin Lawrence, Wendy Raquel Robinson, Oren Williams. Un entraîneur de basketball banni du circuit universitaire accepte de diriger l'équipe de l'école secondaire où il a fait ses classes. Récit construit d'après une formule usée. Traitement en panne d'inspiration malgré quelques rares passages valables. Interprétation très inégale.

Général
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Rebond (Rebound)

Général Général

É.-U. 2005. Comédie de Steve Carr avec Martin Lawrence, Wendy Raquel Robinson, Oren Williams.

Un entraîneur de basketball banni du circuit universitaire accepte de diriger l'équipe de l'école secondaire où il a fait ses classes. Récit construit d'après une formule usée. Traitement en panne d'inspiration malgré quelques rares passages valables. Interprétation très inégale.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Victime de son bouillant caractère, l'entraîneur de basketball Roy McCormick est banni des circuits universitaires après avoir posé un geste anti-sportif de trop. Suivant les conseils de son agent, McCormick tente de redorer son blason en acceptant de diriger l'équipe de son ancienne école secondaire. Sa tâche est rendue difficile par la médiocrité des joueurs et un manque d'enthousiasme de la direction. Après des débuts plus que laborieux, l'entraîneur enrôle deux recrues qui font rapidement une différence. Soudain, le club se met à gagner et réussit contre toute attente à se faufiler jusqu'aux séries éliminatoires. C'est alors que la suspension de McCormick est levée. Placé devant un dilemme, celui-ci devra décider s'il reste avec ses joueurs adolescents ou s'il réintègre les rangs de l'université.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Comparable à tant de comédies sportives de troisième catégorie, REBOUND joue dans les plates-bandes d'un genre soumis à un plan de match strict et confinant souvent au cliché. Disons que l'exécution d'un tel programme ne nécessite guère d'input créatif de la part du réalisateur, tandis que sur le plan thématique, le scénario se contente de souligner de façon plutôt lourde le fait que la pratique sportive constitue un solide vecteur d'accomplissement et de dépassement de soi. Sous le feu des projecteurs du début à la fin, Martin Lawrence s'efforce de nous convaincre qu'il est l?homme de la situation. Quoique louables, ses efforts ne sont cependant pas récompensés par les jeunes qui l'entourent. Ceux-ci ne forment qu'un échantillon d'ados couvrant toute la gamme des stéréotypes. Si quelques scènes comiques viennent donner un peu de relief à l'ensemble, elles sont diluées dans ce REBOUND plutôt plat qui sera rapidement relégué aux oubliettes.

Texte : Michel Defoy

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