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Pure

Can. 2005. Drame de moeurs de Jim Donovan avec Laura Jordan, Gianpaolo Venuta, Tim Rozon. Les déceptions vécues par une ancienne «clubbeuse» de 22 ans qui veut retourner étudier et se trouver un appartement à Montréal. Scénario pas très original et plutôt décousu. Éléments fantastiques illustrés de façon poétique. Bande sonore relevée. Interprétation inégale.

13 ans +
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Pure (Pure)

13 ans + 13 ans +

Can. 2005. Drame de moeurs de Jim Donovan avec Laura Jordan, Gianpaolo Venuta, Tim Rozon.

Les déceptions vécues par une ancienne «clubbeuse» de 22 ans qui veut retourner étudier et se trouver un appartement à Montréal. Scénario pas très original et plutôt décousu. Éléments fantastiques illustrés de façon poétique. Bande sonore relevée. Interprétation inégale.

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Scénario :
À 22 ans, Misha est bien décidée à retourner étudier à l'université et à se trouver un appartement à Montréal. Quittant la banlieue en train, elle est flanquée de Josh, un garçon sensible qui cache un étrange secret. Mais à son arrivée en ville, Misha vit diverses déceptions. Ainsi, l'appartement qu'elle devait obtenir sur le Plateau Mont-Royal n'est pas disponible pour l'instant et le montant de sa bourse d'études se révèle moins élevé que prévu, ce qui compromet son inscription à l'université. Entre-temps, la jeune femme renoue avec son amie Angie qui, contrairement à elle, n'a pas décroché de sa vie de «clubbeuse». Puis Misha revoit son ex-petit ami, l'organisateur de raves Sam, au grand dam de Josh, qui est tombé amoureux d'elle.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Jim Donovan (PROVOCATEUR) s'est inspiré en partie de ses propres expériences de «clubbeur» pour mettre en scène PURE, incursion dans l'univers du «nightlife» montréalais à travers la prise de conscience d'une jeune femme à la croisée des chemins. Malheureusement, le scénario n'apparaît pas très original et s'avère plutôt décousu, multipliant les personnages secondaires inintéressants ou mal développés. D'autre part, en dépit d'une bande sonore relevée, qui ravira les amateurs de techno et de house, les scènes dans les clubs manquent de spontanéité, ne parvenant pas à capter l'énergie brute de ces nuits débridées. En revanche, Donovan s'y entend mieux pour illustrer de façon poétique les éléments fantastiques du récit, et ce, malgré un budget des plus limités. Laura Jordan incarne l'héroïne avec une touchante sincérité, mais ses partenaires offrent un jeu très inégal.

Texte : Louis-Paul Rioux

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