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Oui, je le veux... pas (Unhitched)

G.-B. 2005. Comédie sentimentale de Stefan Schwartz avec Stuart Townsend, Amy Smart, Seth Green. Un jeune écrivain raté tente de faire échouer le mariage d'un ami après s'être épris de la fiancée de ce dernier. Production routinière sans ambition ni originalité. Scénario aux formules éprouvées et à l'humour souvent facile. Réalisation compétente et attrayante. S. Townsend crédible.

Général
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Oui, je le veux... pas (Unhitched)

Général Général

G.-B. 2005. Comédie sentimentale de Stefan Schwartz avec Stuart Townsend, Amy Smart, Seth Green.

Un jeune écrivain raté tente de faire échouer le mariage d'un ami après s'être épris de la fiancée de ce dernier. Production routinière sans ambition ni originalité. Scénario aux formules éprouvées et à l'humour souvent facile. Réalisation compétente et attrayante. S. Townsend crédible.

Année :
Durée :
Réalisation :
Distributeur :
Christal Films
Olly Pickering, un écrivain raté et gauche travaillant dans le département «croissance personnelle» d'une maison d'édition de second ordre, est abonné à la malchance. À preuve: alors qu'il assiste à une soirée que donne un vieil et riche ami pour célébrer son mariage prochain, le jeune homme tombe amoureux fou de la fiancée de ce dernier. Olly décide de ne rien révéler de ce coup de foudre à son entourage. À l'exception de son meilleur ami, un glandeur espiègle qui bientôt le convainc de faire échouer le projet de mariage de celui qu'il considère désormais comme son ennemi numéro un.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les formules toutes faites et l'humour juvénile sont le lot de cette production générique sur le thème usé de l'affirmation personnelle, réalisée par un cinéaste autrefois considéré comme prometteur, Stefan Schwartz (SHOOTING FISH). Le scénario prévisible et outrancier décline tous les poncifs du genre, avec d'un côté le héros timide au coeur noble, de l'autre son pote machiavélique qui lui impose sa loi comme Jeckyl à Hyde. À défaut d'originalité, la mise en scène ne manque pas d'énergie ni d'attrait, et quelques gags physiques font mouche. En outre, la performance crédible de Stuart Townsend (THE LEAGUE OF EXTRAORDINARY GENTLEMEN) énergise l'ensemble. Cet exploit est d'autant plus remarquable du fait que l'acteur est entouré de partenaires au jeu forcé.

Texte : Martin Bilodeau

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