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Moins cher la douzaine 2 (Cheaper by the Dozen 2)

É.-U. 2005. Comédie de Adam Shankman avec Steve Martin, Bonnie Hunt, Eugene Levy. Au cours d'un séjour au bord d'un lac, le père de douze enfants reprend une vieille rivalité avec un ancien camarade de collège, lui-même père de huit enfants. Scénario routinier enfilant des gags à rabais. Personnages à peine esquissés. Touches de sensiblerie mièvre. Réalisation compétente. interprétation enjouée.

Général
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Moins cher la douzaine 2 (Cheaper by the Dozen 2)

Général Général

É.-U. 2005. Comédie de Adam Shankman avec Steve Martin, Bonnie Hunt, Eugene Levy.

Au cours d'un séjour au bord d'un lac, le père de douze enfants reprend une vieille rivalité avec un ancien camarade de collège, lui-même père de huit enfants. Scénario routinier enfilant des gags à rabais. Personnages à peine esquissés. Touches de sensiblerie mièvre. Réalisation compétente. interprétation enjouée.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
À Chicago, l'ancien entraîneur de football Tom Baker et sa femme Kate vivent encore avec leurs douze enfants. Toutefois, l'aînée, qui est enceinte, compte s'établir au Texas avec son mari, alors qu'une de ses soeurs quittera bientôt pour New York. Sentant que sa famille commence à lui glisser entre les doigts, Tom propose à tous les siens de passer le week-end de la fête du travail à leur chalet du Lac Winnetka. Cette expédition tourne cependant au vinaigre quand Tom apprend que son ancien camarade de collège, le riche Jimmy Murtaugh, s'est installé dans le plus beau chalet du lac avec ses huit enfants et sa nouvelle femme. Une compétition malsaine reprend alors entre les deux rivaux, au grand dam des enfants des deux clans qui, pour leur part, s'entendent plutôt bien.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il n'y a pas grand chose à dire de cette comédie à numéros, qui repose sur un scénario routinier enfilant des gags à rabais dans une succession de scènes de rivalité entre deux familles nombreuses dignes des «sitcoms» les moins originales. La surabondance de personnages à peine esquissés (une vingtaine!) ne fait qu'accroître la multiplication de situations simplifiées à outrance. L'accumulation de petites minauderies entre les uns et les autres n'évite pas quelques touches de sensiblerie mièvre qui lasseront jusqu'au spectateur le mieux disposé. Malgré tout, la réalisation se révèle compétente, parfois même énergique, si l'on considère la difficulté que supposent les déplacements des membres des deux familles, souvent présents simultanément dans le même cadre. Les interprètes, enjoués, évitent heureusement de cabotiner.

Texte : André Caron

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