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Les Dernières Vacances (Last Holiday)

É.-U. 2005. Comédie dramatique de Wayne Wang avec Queen Latifah, LL Cool J, Timothy Hutton. Se croyant atteinte d'une maladie mortelle, une vendeuse à l'existence routinière décide de s'offrir un séjour de rêve dans un palace en Europe. Remake d'un film anglais mettant en vedette Alec Guiness. Récit prévisible chargé de situations convenues. Réalisation impersonnelle. Interprétation enjouée de Queen Latifah.

Général
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Les Dernières Vacances (Last Holiday)

Général Général

É.-U. 2005. Comédie dramatique de Wayne Wang avec Queen Latifah, LL Cool J, Timothy Hutton.

Se croyant atteinte d'une maladie mortelle, une vendeuse à l'existence routinière décide de s'offrir un séjour de rêve dans un palace en Europe. Remake d'un film anglais mettant en vedette Alec Guiness. Récit prévisible chargé de situations convenues. Réalisation impersonnelle. Interprétation enjouée de Queen Latifah.

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À cause d'un diagnostic médical erroné, Gloria Byrd, vendeuse dans un grand magasin, croit n'avoir plus que quelques jours à vivre. La jeune femme à l'existence jusque-là monotone décide alors de s'offrir, avant de quitter ce monde, le séjour de ses rêves dans un palace en Europe. Durant son voyage, Georgia en profite également pour changer son apparence grâce à divers soins de beauté, tout en se permettant pour la première fois de porter des robes de luxe. Sa métamorphose inquiète son patron Matthew, qui se convainc qu'elle cherche à compromettre ses ambitieux plans d'affaire. Par ailleurs, Georgia attire l'attention de Didier, un chef renommé qui n'est pas insensible à ses charmes.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Remake d'un film anglais de 1950 avec le regretté Alec Guiness, LAST HOLIDAY sert surtout à mettre en valeur les talents comiques de la chanteuse et actrice Queen Latifah. Le réalisateur Wayne Wang s'y applique sans trop d'efforts, renouant pour l'occasion avec la romance à l'eau de rose sur fond d'hôtel de luxe, ingrédients qui ont fait le succès de son MAID IN MANHATTAN. Porté par un message d'un optimisme simpliste, le scénario enchaîne des péripéties convenues qui rendent l'ensemble hautement prévisible. Bien que lourde de sens, la comparaison que force le cinéaste entre l'opulence des palaces européens et la grisaille des bas-quartiers de la Nouvelle-Orléans d'où est issue son héroïne, ne rehausse en rien la qualité de son film. Du reste, Wang ne nous épargne aucun cliché sur l'Europe et ses habitants. La palme du pittoresque revient au grand chef cuisinier français interprété avec bonhomie par Gérard Depardieu.

Texte : André Lavoie

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