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Le Garçon à mamie (Grandma's Boy)

É.-U. 2005. Comédie de Nicholaus Goossen avec Allen Covert, Linda Cardellini, Doris Roberts. Chassé de son appartement, un testeur de jeux vidéos âgé de 36 ans est hébergé par sa grand-mère, qui habite avec deux chambreuses. Scénario insignifiant. Humour grossier tombant à plat. Réalisation fade. Rythme inconstant. Interprétation passable.

13 ans + (érotisme, langage vulgaire)
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Le Garçon à mamie (Grandma's Boy)

13 ans + (érotisme, langage vulgaire) 13 ans + (érotisme, langage vulgaire)

É.-U. 2005. Comédie de Nicholaus Goossen avec Allen Covert, Linda Cardellini, Doris Roberts.

Chassé de son appartement, un testeur de jeux vidéos âgé de 36 ans est hébergé par sa grand-mère, qui habite avec deux chambreuses. Scénario insignifiant. Humour grossier tombant à plat. Réalisation fade. Rythme inconstant. Interprétation passable.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Testeur de jeux vidéos âgé de 35 ans, Alex est expulsé de son appartement quand son colocataire flambe l'argent du loyer avec des prostituées asiatiques. Son collègue de travail Jeff, qui habite toujours chez ses parents, accepte de l'héberger temporairement. Mais à la suite d'un incident disgracieux avec la mère de Jeff, Alex doit trouver refuge ailleurs. Sa grand-mère Lily l'accueille alors dans sa maison, qu'elle partage avec deux chambreuses de son âge, Grace et Bea. Entre-temps, Alex s'amourache de sa supérieure Samantha, qui supervise les tests du nouveau jeu vidéo créé par l'extravagant J.P. Les choses se corsent lorsque ce dernier, à court d'inspiration, vole le prototype de jeu qu'Alex a développé secrètement dans ses temps libres.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il n'y a pas grand chose à sauver dans cette énième comédie illustrant avec un mauvais goût agressif les obsessions sexuelles d'individus immatures. Qui plus est, ce croisement bancal entre REVENGE OF THE NERDS et UP IN SMOKE cherche vainement à provoquer le spectateur en plaçant des dames du troisième âge dans des situations extravagantes propices au dévergondage. Insignifiant et désordonné, le scénario n'est guère relevé par la réalisation fade, au rythme inconstant. L'interprétation est néanmoins passable, avec une mention pour le jeu attachant de Doris Roberts et la prestation excentrique de Joel David Moore.

Texte : Louis-Paul Rioux

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