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La Caverne (The Cave)

É.-U. 2005. Drame d'horreur de Bruce Hunt avec Cole Hauser, Eddie Cibrian, Piper Perabo. En explorant une rivière souterraine en Roumanie, des plongeurs américains se retrouvent aux prises avec des créatures monstrueuses. Scénario sans la moindre originalité. Suspense peu enlevant. Scènes d'action mal filmées. Interprétation potable.

13 ans + (horreur)
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La Caverne (The Cave)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

É.-U. 2005. Drame d'horreur de Bruce Hunt avec Cole Hauser, Eddie Cibrian, Piper Perabo.

En explorant une rivière souterraine en Roumanie, des plongeurs américains se retrouvent aux prises avec des créatures monstrueuses. Scénario sans la moindre originalité. Suspense peu enlevant. Scènes d'action mal filmées. Interprétation potable.

Genre :
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Réalisation :
Dans une forêt en Roumanie, des scientifiques découvrent les vestiges d'une abbaye datant du XIIIe siècle. Qui plus est, sous les ruines, se trouve une gigantesque grotte submergée qui pourrait abriter un écosystème inédit. Une équipe américaine spécialisée dans l'exploration de ce type de cavernes est aussitôt dépêchée sur les lieux. Dirigé par les frères Jack et Tyler, le groupe de plongeurs entreprend ses recherches, à l'aide d'un équipement à la fine pointe de la technologie. Mais les explorateurs ne tardent pas à réaliser que dans les recoins des grottes, se terrent des créatures monstrueuses extrêmement dangereuses.

L’AVIS DE MEDIAFILM

On chercherait en vain la moindre idée neuve dans ce scénario qui se nourrit avec une rare boulimie des clichés les plus éculés du genre. Le décor où se déroule le récit, c'est-à-dire cet immense réseau de cavernes et de rivières souterraines, procure en lui-même un contexte sombre, humide et mystérieux propice à la création d'un climat de terreur efficace. Mais encore faut-il que les péripéties qui s'y déroulent possèdent un minimum d'originalité pour susciter la curiosité du spectateur et maintenir son intérêt. Or, l'intrigue est archiprévisible et manque de rythme, tandis que les personnages, stéréotypés au possible, débitent des dialogues d'une banalité décourageante. Par ailleurs, la réalisation repose sur des conventions routinières, alors que les séquences d'action et de suspense sont généralement mal filmées (images trop sombres, cadrages maladroits, montage confus). Les interprètes font preuve du minimum requis de conviction, sans parvenir à injecter beaucoup de personnalité dans leur jeu.

Texte : Martin Girard

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