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Doom

É.-U. 2005. Science-fiction de Andrzej Bartkowiak avec Karl Urban, Dwayne Johnson, Rosamund Pike. Des Marines armés jusqu'aux dents sont envoyés sur Mars pour sauver des scientifiques enfermés dans un laboratoire envahi par des créatures monstrueuses. Sujet éculé tiré d'un jeu vidéo. Mélange primaire d'horreur, d'action et de science-fiction. Réalisation aux effets répétitifs. Interprétation routinière.

13 ans + (violence, horreur)
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Doom (Doom)

13 ans + (violence, horreur) 13 ans + (violence, horreur)

É.-U. 2005. Science-fiction de Andrzej Bartkowiak avec Karl Urban, Dwayne Johnson, Rosamund Pike.

Des Marines armés jusqu'aux dents sont envoyés sur Mars pour sauver des scientifiques enfermés dans un laboratoire envahi par des créatures monstrueuses. Sujet éculé tiré d'un jeu vidéo. Mélange primaire d'horreur, d'action et de science-fiction. Réalisation aux effets répétitifs. Interprétation routinière.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Sur la planète Mars, une expérience a très mal tourné dans la station de recherche Olduvai. Des créatures monstrueuses d'une origine inconnue ont envahi les lieux, se faufilant dans les nombreux corridors et tunnels pour éliminer un à un les scientifiques présents. Une équipe de Marines armés jusqu'au dents est aussitôt envoyée là-bas pour sauver les survivants et exterminer ces monstres. Mais la partie est loin d'être gagnée.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Inspiré d'un jeu vidéo à succès, DOOM repose sur une intrigue sans grande originalité qui rappelle étrangement celle de RESIDENT EVIL, également basé sur un jeu populaire. L'une des rares particularités notables du film d'Andrzej Bartkowiak consiste à reproduire dans une séquence le type de mise en scène subjective des jeux vidéo où le joueur adopte le point de vue d'un militaire qui doit tirer sur différentes cibles. Hormis cette scène, DOOM se contente de reprendre les recettes les plus éculées du genre, offrant un mélange assez primaire d'action, d'horreur et de science-fiction. Malgré une réalisation assez musclée et un véritable barrage d'effets-chocs, le film parvient difficilement à générer un véritable suspense, surtout que les situations s'avèrent prévisibles et que les personnages ne sont que des marionnettes envoyées à l'abattoir. Dans les circonstances, on ne sera pas surpris de constater que les interprètes offrent un jeu purement routinier.

Texte : Martin Girard

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