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Crier au loup (Cry Wolf)

É.-U. 2005. Thriller de Jeff Wadlow avec Julian Morris, Lindy Booth, Jared Padalecki. Des élèves du secondaire répandent une fausse rumeur sur Internet à l'effet qu'un tueur en série sévit dans leur école, mais la blague se retourne contre eux. Très pâle imitation des films de la série "Scream". Accumulation de situations et d'effets usés jusqu'à la corde. Personnages insipides. Réalisation artificielle. Interprétation peu nuancée.

13 ans + (violence)
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Crier au loup (Cry Wolf)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 2005. Thriller de Jeff Wadlow avec Julian Morris, Lindy Booth, Jared Padalecki.

Des élèves du secondaire répandent une fausse rumeur sur Internet à l'effet qu'un tueur en série sévit dans leur école, mais la blague se retourne contre eux. Très pâle imitation des films de la série "Scream". Accumulation de situations et d'effets usés jusqu'à la corde. Personnages insipides. Réalisation artificielle. Interprétation peu nuancée.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Adolescent indiscipliné, Owen Matthews est admis à l'école secondaire de Westlake, où il s'empresse de fraterniser avec la brillante Dodger et l'impulsif Tom, qui sont à la tête d'un petit groupe d'élèves s'amusant à colporter des mensonges sur le campus. En apprenant qu'une jeune femme a été retrouvée assassinée dans le bois près de l'école, Owen convainc ses nouveaux amis de faire courir sur Internet la rumeur qu'un tueur en série, surnommé «The Wolf», sévit dans les parages. Étoffant leur canular, les membres du groupe s'emploient à décrire les prochaines victimes, en s'inspirant des personnes de leur entourage. Mais peu après, ces dernières sont bel et bien trucidées par un individu mystérieux, qui décide de s'en prendre ensuite à la bande de plaisantins.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il y a fort à parier que les auteurs de ce thriller routinier avaient en tête un projet destiné à séduire les jeunes qui ont couru dans les salles pour voir la très populaire série SCREAM. Malheureusement, ils ont accouché d'une très pâle imitation, qui ne possède pas la moitié de l'efficacité des films de Wes Craven. Peuplé de personnages insipides, le scénario n'est qu'une accumulation de situations et d'effets usés jusqu'à la corde. Le tout se termine sur un coup de théâtre forcé qui risque de provoquer bien plus la frustration que la surprise chez les spectateurs. L'ensemble est réalisé de façon artificielle et les interprètes ne font montre d'aucune nuance.

Texte : Martin Girard

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