Cake: La Vie, c'est du gâteau (Cake)

Name: Cake: La Vie, c'est du gâteau
Director: Nisha Ganatra
Genre: Comédie sentimentale
Duration: 94 min.

Can. 2005. Comédie sentimentale de Nisha Ganatra avec Heather Graham, David Sutcliffe, Sandra Oh. Une journaliste célibataire, volage et irresponsable doit sauver de la faillite un magazine sur le mariage qui appartient à son père malade. Récit convenu au dénouement mièvre. Humour légèrement ironique. Réalisation conventionnelle. Interprétation dégagée.

Cake: La Vie, c'est du gâteau (Cake)

Général

Can. 2005. Comédie sentimentale de Nisha Ganatra avec Heather Graham, David Sutcliffe, Sandra Oh.

Une journaliste célibataire, volage et irresponsable doit sauver de la faillite un magazine sur le mariage qui appartient à son père malade. Récit convenu au dénouement mièvre. Humour légèrement ironique. Réalisation conventionnelle. Interprétation dégagée.

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Genre :

Comédie sentimentale

Année :

2005

Durée :

94 min.

Réalisation :

Nisha Ganatra

Pays :

Canada

Distributeur :

TVA-Films

Interprètes :

Heather Graham
David Sutcliffe
Sandra Oh
Taye Diggs
Keram Malicki-Sanchez
Cheryl Hines
Bruce Gray

Pippa McGee, une journaliste irresponsable qui, à 29 ans, tient à rester célibataire, revient s'installer chez son père Malcolm, propriétaire d'un empire de presse. Or, le lendemain de son arrivée, ce dernier est victime d'un malaise cardiaque. Pour faire ses preuves, Pippa accepte d'occuper le poste vacant d'éditrice d'un de ses magazines. Or, ladite revue, au bord de la faillite, fait la promotion du mariage. Le premier numéro sous sa gouverne se révélant désastreux, Pippa consent à suivre les recommandations de Ian, un séduisant mentor que lui a imposé son père et qu'elle déteste depuis leur rencontre orageuse au mariage d'une amie. Pourtant, lors d'un congrès à Niagara Falls, ils s'éprennent l'un de l'autre, mais après une nuit torride, Pippa s'enfuit.

L’AVIS DE MEDIAFILM

CAKE appartient à cette catégorie de films canadiens qui tentent de percer le marché américain par l'addition de subterfuges: tête d'affiche états-unienne, décors (ici Toronto) maquillés en métropole anonyme, distribution composée d'acteurs d'ici faisant carrière au sud de la frontière, etc. Ces efforts se déploient en vain dans un conte de fées réactionnaire et bas-de-gamme, qui ne fait pas le poids devant son équivalent hollywoodien, et dans lequel le faste kitsch entourant l'industrie du mariage fait l'objet de sarcasmes inoffensifs. Bien que les personnages féminins soient tous dans la vingtaine, leurs comportements de gamines, pour le moins étonnants, nuit à l'authenticité déjà chancelante de cette comédie réalisée de manière conventionnelle. Les interprètes ne se prennent toutefois jamais au sérieux.

Texte : André Lavoie

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