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Amityville: La Maison du diable (The Amityville Horror)

É.-U. 2005. Drame d'horreur de Andrew Douglas avec Ryan Reynolds, Melissa George, Jesse James. Après avoir emménagé dans une maison qui a été le théâtre de plusieurs meurtres, une famille est soumise à des expériences terrifiantes. Remake sans aucune originalité d'un film de 1979. Accumulation d'effets-chocs gratuits, aux dépens d'un vrai suspense. Passages frôlant le ridicule. Technique efficace. Interprétation inégale.

13 ans + (horreur)
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Amityville: La Maison du diable (The Amityville Horror)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

É.-U. 2005. Drame d'horreur de Andrew Douglas avec Ryan Reynolds, Melissa George, Jesse James.

Après avoir emménagé dans une maison qui a été le théâtre de plusieurs meurtres, une famille est soumise à des expériences terrifiantes. Remake sans aucune originalité d'un film de 1979. Accumulation d'effets-chocs gratuits, aux dépens d'un vrai suspense. Passages frôlant le ridicule. Technique efficace. Interprétation inégale.

Genre :
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Réalisation :
En novembre 1974, dans la petite localité d'Amityville à Long Island, Ronald DeFeo Jr. tue ses parents ainsi que ses quatre frères et soeurs, prétendant que des voix émanant de leur maison l'ont incité à commettre cette boucherie. Un an plus tard, ignorant tout de ce drame, George et Kathy Ludz emménagent dans cette même demeure avec leurs enfants. Très tôt, Chelsey, la plus jeune, inquiète sa mère lorsqu'elle lui parle de ses jeux avec sa nouvelle amie imaginaire Jodie. Mais Kathy se préoccupe davantage du comportement de plus en plus étrange de son mari, qui semble lui aussi entendre des voix...

L’AVIS DE MEDIAFILM

Vaguement inspiré d'une histoire supposément vraie, bien que fort peu crédible, le premier THE AMITYVILLE HORROR n'a pas laissé sa marque dans l'histoire du cinéma fantastique. Il s'agissait d'une production bâclée et routinière, qui a d'ailleurs mal vieilli. Ce remake reprend grosso modo les mêmes éléments, mais avec un vernis technique nettement plus impressionnant. Cela ne suffit cependant pas à rendre particulièrement mémorable ce nouveau séjour dans la demeure des Ludz. Comme dans nombre de films d'horreur récents, on se retrouve devant une accumulation d'effets-chocs gratuits, aux dépens d'un vrai suspense. Toutes ces apparitions intempestives de spectres livides et ces dégoulinades de sang sur les murs feront peut-être un peu peur à certains spectateurs, mais il y a fort à parier qu'elles seront vite oubliées après la projection. En outre, à force d'en mettre des tonnes dans ses effets de terreur, le réalisateur accouche de passages qui frôlent le ridicule. Les interprètes jouent avec une intensité pas toujours bien contrôlée.

Texte : Martin Girard

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