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Resident Evil - Apocalypse

All. 2004. Drame d'horreur de Alexander Witt avec Milla Jovovich, Sienna Guillory, Oded Fehr. À la suite de la propagation d'un virus, une grande ville est dévastée par une invasion de zombies à laquelle une poignée de survivants tente d'échapper. Scénario infesté de clichés. Comportements des personnages d'une stupidité exaspérante. Accumulation d'effets-chocs tonitruants et grossiers. Scènes d'action confuses. Interprétation rudimentaire.

13 ans + (violence, horreur)
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Resident Evil - Apocalypse (Resident Evil - Apocalypse)

13 ans + (violence, horreur) 13 ans + (violence, horreur)

All. 2004. Drame d'horreur de Alexander Witt avec Milla Jovovich, Sienna Guillory, Oded Fehr.

À la suite de la propagation d'un virus, une grande ville est dévastée par une invasion de zombies à laquelle une poignée de survivants tente d'échapper. Scénario infesté de clichés. Comportements des personnages d'une stupidité exaspérante. Accumulation d'effets-chocs tonitruants et grossiers. Scènes d'action confuses. Interprétation rudimentaire.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Récompenses
Un mystérieux virus qui s'est répandu dans un immense centre de recherches souterrain transforme les morts en zombies avides de chair humaine. Bientôt, ce virus atteint une grande ville nord-américaine que les autorités sont forcées d'évacuer en catastrophe avant d'en sceller complètement le périmètre, en y abandonnant une poignée de survivants. Parmi eux se trouve Alice, qui faisait partie d'un commando d'élite chargé d'enquêter sur la catastrophe au laboratoire. Ayant servi de cobaye pour une mystérieuse expérience scientifique, la jeune femme a reçu par injection une mégadose du virus qui lui confère désormais des pouvoirs presque surhumains. Elle devient ainsi la meneuse du groupe de survivants qui cherchent à sortir de l'enceinte infernale de cette ville condamnée.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Inspiré d'un jeu vidéo, le premier RESIDENT EVIL se déroulait entièrement dans le décor très high-tech d'un centre de recherche souterrain. Sans être d'une originalité profonde, le film avait de quoi satisfaire les amateurs de sensations fortes. Cette suite, réalisée par un nouveau venu, nous fait rapidement sortir des confins du laboratoire pour nous propulser dans les rues d'une grande ville américaine (qui ressemble étrangement à Toronto...) en proie à une invasion en règle de morts-vivants. Or, si RESIDENT EVIL: APOCALYPSE contient plus de scènes d'actions et d'affrontements spectaculaires que le film précédent, cela ne le rend pas meilleur, bien au contraire. En effet, le scénario est infesté de clichés et peuplé de personnages dont les comportements sont d'une stupidité exaspérante (dans une scène où des survivants cherchent à fuir une horde de zombies, ils ne trouvent pas mieux que de se réfugier... dans un cimetière!). Accumulant à un rythme rapide les effets-chocs tonitruants et grossiers, le réalisateur ne parvient pas à éviter une certaine confusion dans les scènes d'action. Les interprètes livrent des performances assez vigoureuses, mais fort rudimentaires sur le plan dramatique.

Texte : Martin Girard

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