November

Name: November
Director: Greg Harrison
Genre: Drame
Duration: 78 min.

É.-U. 2004. Drame de Greg Harrison avec Courteney Cox, James Le Gros, Anne Archer. Après l'assassinat de son copain dans une épicerie, une photographe rongée par la culpabilité développe d'étranges visions. Récit parfois alambiqué, teinté d'ambiances morbides. Utilisation expressive des éclairages. Mise en scène précise. Interprétation convaincante.

November (November)

13 ans +

É.-U. 2004. Drame de Greg Harrison avec Courteney Cox, James Le Gros, Anne Archer.

Après l'assassinat de son copain dans une épicerie, une photographe rongée par la culpabilité développe d'étranges visions. Récit parfois alambiqué, teinté d'ambiances morbides. Utilisation expressive des éclairages. Mise en scène précise. Interprétation convaincante.

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Genre :

Drame

Année :

2004

Durée :

78 min.

Réalisation :

Greg Harrison

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Atopia

Interprètes :

Courteney Cox
James Le Gros
Anne Archer
Michael Ealy
Nora Dunn
Nick Offerman

Après une sortie au restaurant, la photographe Sophie Jacobs et son copain avocat Hugh décident d'arrêter dans une épicerie. Pendant que Sophie l'attend dans la voiture, Hugh est tiré à bout portant par un cambrioleur et rend l'âme. Traumatisée et rongée par la culpabilité, Sophie poursuit tout de même son travail de professeur dans un collège, dîne régulièrement avec sa mère et consulte sa thérapeute. Mais lors d'une présentation de photographie par une de ses étudiantes, elle est surprise de voir une image d'elle au moment du drame. Sophie commence alors à développer d'étranges visions qui déforment ces tragiques événements. Elle mène alors une enquête personnelle pour découvrir ce qui s'est réellement passé ce soir-là.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Greg Harrison (GROOVE) s'est inspiré d'un fait divers pour explorer les impacts psychologiques de tels drames sur les proches des victimes. Dans NOVEMBER, cet événement provoque non seulement le déséquilibre émotif de la protagoniste mais en vient à bouleverser le déroulement même de l'intrigue, brouillant les pistes entre ce qui appartient au réel et ce qui relève de l'imaginaire. Toutefois, le récit, structuré en trois chapitres illustrant les manières de survivre à la perte d'un être cher dans des circonstances tragiques, s'avère parfois alambiqué et confus. Bien que tourné en vidéo numérique, le film adopte une esthétique soignée, Harrison utilisant les éclairages de manière expressive pour décrire l'évolution psychologique de son héroïne. Celle-ci est incarnée de manière convaincante par Courteney Cox, parfaitement en phase avec le reste de la distribution.

Texte : André Lavoie

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