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L'Agent Cody Banks 2: Destination Londres (Agent Cody Banks 2: Destination London)

É.-U. 2004. Comédie d'espionnage de Kevin Allen avec Frankie Muniz, Anthony Anderson, Hannah Spearritt. Un agent junior de la CIA est envoyé à Londres pour retrouver un espion qui cherche à vendre un microprocesseur ultrasecret. Récit artificiel et sans surprises, mais réalisé avec un certain élan. Passages amusants. Montage rythmé bien que parfois confus. Interprétation candide.

Général
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L'Agent Cody Banks 2: Destination Londres (Agent Cody Banks 2: Destination London)

Général Général

É.-U. 2004. Comédie d'espionnage de Kevin Allen avec Frankie Muniz, Anthony Anderson, Hannah Spearritt.

Un agent junior de la CIA est envoyé à Londres pour retrouver un espion qui cherche à vendre un microprocesseur ultrasecret. Récit artificiel et sans surprises, mais réalisé avec un certain élan. Passages amusants. Montage rythmé bien que parfois confus. Interprétation candide.

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Alors que l'adolescent Cody Banks poursuit son entraînement au camp d'été destiné à l'élite junior de la CIA, son instructeur Diaz s'enfuit à Londres avec un circuit intégré permettant de contrôler les pensées et la volonté des êtres humains. Le jeune espion est aussitôt envoyé en Angleterre pour retrouver Diaz qui cherche à vendre le microprocesseur ultrasecret à un certain Lord Kenworth, dont la femme dirige un orchestre de jeunes virtuoses internationaux. Se faisant passer pour un clarinettiste réputé, Cody entre en contact avec Emily, une musicienne qui travaille en fait pour les services secrets britanniques. Par ailleurs, l'adolescent est assisté dans sa mission par Derek, un espion plutôt gaffeur qui fait tout pour rentrer dans les bonnes grâces du directeur de la CIA.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les suites ne se font pas attendre par les temps qui courent, ce deuxième épisode des aventures de l'agent Cody Banks arrivant en salles à peine un an après la sortie du premier opus. Comme dans le cas de la série des SPY KIDS, le récit se détériore d'un film à l'autre, si bien que l'intrigue sans surprise de ce second volet se révèle des plus alimentaires et des plus artificielles. L'action se déroule en bonne partie à Londres, mais on a droit ici à une visite de carte postale qui collectionne tous les lieux communs propres à la capitale britannique. Contrairement au premier film, la dérision et l'ironie ne sont pas vraiment au rendez-vous pour se moquer des conventions du genre, ce qui donne à l'entreprise une impression de déjà-vu, malgré un certain élan dans la réalisation et quelques passages assez amusants. Les auteurs versent rapidement dans la grosse caricature et les clichés, surtout lorsqu'ils se moquent des travers de la haute société anglaise, une cible des plus faciles qui a été l'objet de nombreuses parodies récentes. Heureusement, les interprètes font montre d'une belle candeur.

Texte : André Caron

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