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Club de peur (Broken Lizard's Club Dread)

É.-U. 2004. Comédie satirique de Jay Chandrasekhar avec Jay Chandrasekhar, Kevin Heffernan, Brittany Daniel. Un tueur en série décime les employés d'un club de vacances au Costa Rica. Mélange indigeste de parodie et de gore. Situations répétitives. Gags rarement efficaces. Réalisation routinière. Comédiens honnêtes.

13 ans + (horreur)
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Club de peur (Broken Lizard's Club Dread)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

É.-U. 2004. Comédie satirique de Jay Chandrasekhar avec Jay Chandrasekhar, Kevin Heffernan, Brittany Daniel.

Un tueur en série décime les employés d'un club de vacances au Costa Rica. Mélange indigeste de parodie et de gore. Situations répétitives. Gags rarement efficaces. Réalisation routinière. Comédiens honnêtes.

Année :
Durée :
Réalisation :
Ancien chanteur rock des années 1970, Coconut Peter est maintenant le propriétaire d'un club de vacances au Costa Rica où, à chaque année, de jeunes Américains viennent s'éclater durant le traditionnel "spring break". Mais cette année, les festivités sont assombries par la présence d'un mystérieux tueur en série qui décime les membres du personnel de ce lieu de villégiature paradisiaque. Alors que les victimes s'accumulent, Peter et son équipe font en sorte que les clients ne s'aperçoivent de rien afin de ne pas ternir la réputation du club. En l'absence de police sur l'île, le gardien de sécurité Hank entreprend de démasquer lui-même le tueur.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce film n'est pas le premier à parodier le cinéma d'horreur de type «slasher», à la HALLOWEEN et FRIDAY THE 13TH. De STUDENT BODIES à la série SCARY MOVIE, en passant par SHRIEK IF YOU KNOW WHAT I DID LAST FRIDAY THE THIRTEENTH et autres SCREAM, tous les clichés du genre ont été allègrement tournés en dérision à maintes reprises. Il n'y a donc rien de bien neuf dans ce CLUB DREAD qui propose un mélange indigeste de parodie et de gore. Le film se distingue uniquement de ses prédécesseurs par son traitement excessif des scènes sanguinolentes. À ce titre, la finale rivalise avec certains sketches grand-guignolesques des Monty Python, sans toutefois les égaler en hilarité. Le scénario s'enferme rapidement dans une mécanique répétitive qui voit se succéder les meurtres sanglants au milieu de scènes d'une loufoquerie facile et forcée. La réalisation s'avère tout à fait routinière, mais les comédiens font des efforts honnêtes pour injecter un peu de vie et d'humour à l'ensemble.

Texte : Martin Girard

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