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Pilote de kart (Kart Racer)

Can. 2003. Drame sportif de Stuart Gillard avec Will Rothhaar, Randy Quaid, Amanda De Martinis. Un adolescent qui s'entraîne en vue de participer à une course de karting reçoit les conseils de son père, un ancien champion de ce sport. Scénario archiprévisible et rempli de clichés. Nombreuses touches de sensiblerie facile. Scènes de courses pas très excitantes. Interprétation routinière.

Général
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Pilote de kart (Kart Racer)

Général Général

Can. 2003. Drame sportif de Stuart Gillard avec Will Rothhaar, Randy Quaid, Amanda De Martinis.

Un adolescent qui s'entraîne en vue de participer à une course de karting reçoit les conseils de son père, un ancien champion de ce sport. Scénario archiprévisible et rempli de clichés. Nombreuses touches de sensiblerie facile. Scènes de courses pas très excitantes. Interprétation routinière.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
L'adolescent Watts Davies est un passionné de karting, un sport pour lequel il montre de l'aptitude. Or, il se trouve justement que son père Vic est un ancien champion de cette discipline. Mais depuis la mort de sa femme, une as de la mécanique, Vic ne s'intéresse plus à la course. Jusqu'au jour où la Karting Federation annonce que la prochaine compétition nationale aura lieu dans la région. Répondant à cette invitation du destin, Vic décide de mettre son expérience à profit pour entraîner Watts en prévision de cette importante course. L'adolescent reçoit également les encouragements de Dahlia, une jeune graffiteuse qui lui fait discrètement la cour. Par contre, il doit composer avec un rival sournois en la personne du jaloux Rodney Wells, qui a juré de lui faire mordre la poussière sur la piste.

L’AVIS DE MEDIAFILM

On chercherait en vain la moindre originalité dans ce drame sportif qui dégouline de bons sentiments. Des personnages archi-stéréotypés (l'adolescent rebelle en manque d'affection parentale, l'ancien champion de course automobile qui vit à l'ombre de sa gloire disparue, la jeune décrocheuse «punkette» au coeur d'or, le camarade de classe tyrannique qui en fait baver au héros, etc.) au «happy end» de circonstance, absolument rien dans ce récit à numéros ne vient surprendre le spectateur. Le mélange de drame sportif axé sur l'obsession de la victoire et de mélodrame familial cousu de clichés s'avère particulièrement indigeste. La réalisation, terne et sans personnalité, ne fait rien pour sauver les meubles. Même les scènes de courses s'avèrent platement filmées et peu excitantes. L'interprétation, au demeurant assez sincère, se révèle tout de même dans l'ensemble assez routinière.

Texte : Martin Girard

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