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Mon ami l'espion (Spymate)

Can. 2003. Comédie fantaisiste de Robert Vince avec Chris Potter, Richard Kind, Emma Roberts. Un chimpanzé espion et son partenaire humain se rendent au Japon pour sauver la fille de ce dernier, kidnappée par un savant fou. Parodie convenue des films d'espionnage. Réalisation sans éclat. Interprétation grimaçante. Quelques prouesses amusantes du singe savant.

Général
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Mon ami l'espion (Spymate)

Général Général

Can. 2003. Comédie fantaisiste de Robert Vince avec Chris Potter, Richard Kind, Emma Roberts.

Un chimpanzé espion et son partenaire humain se rendent au Japon pour sauver la fille de ce dernier, kidnappée par un savant fou. Parodie convenue des films d'espionnage. Réalisation sans éclat. Interprétation grimaçante. Quelques prouesses amusantes du singe savant.

Année :
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Distributeur :
Les Films Séville
En 1994, le chimpanzé espion Minkey arrache son partenaire humain Mike des griffes de terroristes arabes. Mike décide alors d'abandonner le dangereux travail d'agent secret pour élever sa fille Amelia. Dix ans plus tard, cette dernière est kidnappée par le méchant Dr. Farley, qui veut l'obliger à lui révéler le secret de la foreuse au laser qu'elle a inventée. Mike se voit obligé de sortir de sa retraite et demande à Minkey, devenu acrobate dans un cirque, de reprendre du service. Les deux partenaires se rendent d'abord en Jamaïque pour rencontrer le Dr. Amour, l'ex-associée du Dr. Farley, qui leur apprend que le laboratoire secret du savant fou se trouve au Japon.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Avant SPYMATE, Robert Vince avait déjà réalisé trois comédies sportives mettant en vedette un chimpanzé, dont MVP: MOST VALUABLE PRIMATE. Changement de registre: il propose ici une parodie des films d'espionnage à la James Bond. Hélas, le scénario convenu et sans surprise accumule les clichés sans vraiment les subvertir, et sert avant tout de prétexte à l'alignement des prouesses, parfois amusantes, du primate. La mise en scène manque singulièrement d'éclat et les effets spéciaux, qui trahissent le petit budget de la production, ne sont guère convaincants. Par ailleurs, les acteurs humains grimacent presque autant que le singe savant, ce qui n'arrange rien. Enfin, s'il faut déplorer les stéréotypes raciaux qui émaillent cette comédie, le ton bon enfant de celle-ci et les nombreuses péripéties ont néanmoins quelques chances de plaire aux jeunes spectateurs.

Texte : Kevin Laforest

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