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L'Agent Cody Banks (Agent Cody Banks)

É.-U. 2003. Comédie d'espionnage de Harald Zwart avec Frankie Muniz, Angie Harmon, Hilary Duff. Un adolescent recruté par la CIA fait équipe avec une super-espionne pour lutter contre de dangereux criminels. Scénario hautement fantaisiste mené tambour battant. Humour débridé. Réalisation inventive. Jeu désinvolte et enjoué de la jeune vedette.

Général
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L'Agent Cody Banks (Agent Cody Banks)

Général Général

É.-U. 2003. Comédie d'espionnage de Harald Zwart avec Frankie Muniz, Angie Harmon, Hilary Duff.

Un adolescent recruté par la CIA fait équipe avec une super-espionne pour lutter contre de dangereux criminels. Scénario hautement fantaisiste mené tambour battant. Humour débridé. Réalisation inventive. Jeu désinvolte et enjoué de la jeune vedette.

Année :
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Réalisation :
Pour ses parents et ses amis, Cody Banks est un adolescent comme les autres, passionné d'informatique et de «skateboard» mais plutôt maladroit avec les filles. Alors qu'en réalité, il fait partie de l'élite junior de la CIA, ayant été recruté lors d'un faux camp d'été. Pour sa première mission, le jeune espion doit gagner la confiance de la populaire Natalie Connors, qui fréquente une école secondaire privée, afin qu'elle le mène à son père, un réputé scientifique séquestré par les sinistres Brinkman et Moley. Ces derniers veulent s'emparer de la plus récente invention du savant, des cubes de glace contenant des nano-robots capables de dématérialiser des missiles nucléaires. Cody est pris en charge par la séduisante Ronica Miles, une super-espionne aux multiples talents.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les deux SPY KIDS ont déjà commencé à faire des petits. Cependant, si le scénario de cet AGENT CODY BANKS relève lui aussi de la plus haute fantaisie, l'approche rappelle plutôt la tradition du sitcom américain dans le traitement des personnages et de la situation initiale, surtout que Frankie Muniz est la vedette de la comédie télévisée MALCOLM IN THE MIDDLE. Les scénaristes construisent une intrigue à numéros des plus conventionnelles, reprenant pas à pas le canevas des James Bond, mais ils s'en moquent allégrement en la traitant avec une dérision joyeuse et débridée. En fait, ils ont repris le personnage de Malcolm et l'ont transformé en «spy kid» plongé dans un récit mené tambour battant, parsemé d'observations cocasses sur la vie des Américains moyens. La réalisation insuffle à tout cela une énergie et une invention qui ne se démentent pas, même lors de la confrontation finale entraînant la destruction attendue du repaire des brigands dans une explosion tellement excessive que même le héros manque d'y laisser sa peau! Si Muniz offre un jeu désinvolte et enjoué, la voluptueuse Angie Harmon construit un amusant personnage de super-espionne contrariée par l'inexpérience de son jeune protégé.

Texte : André Caron

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