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Sur les traces du Père Noël 2 (The Santa Clause 2)

É.-U. 2002. Comédie fantaisiste de Michael Lembeck avec Tim Allen, Elizabeth Mitchell, David Krumholtz. À l'approche de Noël, Santa Claus confie la direction de son atelier de jouets à un clone afin de se consacrer à la recherche d'une épouse. Divertissement inégal mais assez coloré et amusant. Sensiblerie d'usage. Décors et trucages réussis. Jeu décontracté de T. Allen.

Général
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Sur les traces du Père Noël 2 (The Santa Clause 2)

Général Général

É.-U. 2002. Comédie fantaisiste de Michael Lembeck avec Tim Allen, Elizabeth Mitchell, David Krumholtz.

À l'approche de Noël, Santa Claus confie la direction de son atelier de jouets à un clone afin de se consacrer à la recherche d'une épouse. Divertissement inégal mais assez coloré et amusant. Sensiblerie d'usage. Décors et trucages réussis. Jeu décontracté de T. Allen.

Année :
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Buena Vista
Depuis huit ans, le père de famille divorcé Scott Calvin assume avec brio le rôle du Père Noël, faisant la joie des enfants du monde entier. Mais selon son contrat, s'il ne s'est pas remarié d'ici le 24 décembre, il cessera d'être Santa Claus à tout jamais. Par ailleurs, ses récentes pertes de poids le préoccupent, ainsi que le fait d'apprendre que son fils Charlie se retrouve sur la liste des enfants non méritants. Obligé de quitter momentanément le pôle Nord pour solutionner tous ces problèmes, Scott prend soin de se faire remplacer par un clone avant de partir. Mais en son absence, ce dernier décide de redéfinir la liste des bonnes et des mauvaises actions qui déterminent l'octroi ou non des cadeaux aux enfants. Or, cette malheureuse initiative a pour effet de mettre en péril la fête de Noël.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le premier SANTA CLAUSE est sorti en 1994. Les producteurs ont donc mis pas mal de temps avant de concocter une suite à cette fantaisie de Noël dont le grand succès a été inattendu à l'époque. Bénéficiant d'un budget visiblement plus confortable que son prédécesseur John Pasquin, le réalisateur Michael Lembeck a mis beaucoup d'efforts dans l'élaboration des décors du village du Père Noël au pôle Nord, allant puiser son inspiration dans l'Art Nouveau d'Hector Guimard et d'Antonio Gaudi. Des trucages fort réussis complètent le tableau pour offrir au récit une toile de fond colorée et imaginative. Malheureusement, le scénario n'est pas aussi enchanteur. La première partie contient beaucoup de rythme et d'humour, mais l'inévitable sensiblerie d'usage finit par alourdir les festivités. Par ailleurs, on peut reprocher au film une apologie un peu trop marquée du matérialisme. En effet, on a rarement vu un film de Noël mettant autant l'accent sur l'importance des cadeaux! Mais l'ensemble n'en constitue pas moins un divertissement plaisant, notamment grâce au jeu décontracté de Tim Allen.

Texte : Martin Girard

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