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National Lampoon présente Van Wilder (National Lampoon's Van Wilder)

É.-U. 2002. Comédie de Walt Becker avec Ryan Reynolds, Tara Reid, Tim Matheson. S'étant fait couper les vivres par son père, un éternel étudiant organise des fêtes débridées pour payer ses frais de scolarité. Scénario mince prétexte à une enfilade de péripéties puériles. Personnages caricaturaux. Humour outrancier d'un goût douteux. Mise en scène routinière. Interprétation enjouée.

13 ans + (langage vulgaire)
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National Lampoon présente Van Wilder (National Lampoon's Van Wilder)

13 ans + (langage vulgaire) 13 ans + (langage vulgaire)

É.-U. 2002. Comédie de Walt Becker avec Ryan Reynolds, Tara Reid, Tim Matheson.

S'étant fait couper les vivres par son père, un éternel étudiant organise des fêtes débridées pour payer ses frais de scolarité. Scénario mince prétexte à une enfilade de péripéties puériles. Personnages caricaturaux. Humour outrancier d'un goût douteux. Mise en scène routinière. Interprétation enjouée.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Légende vivante de son campus, Van Wilder se plaît à rendre les étudiants heureux. Mais au tout début de sa septième année d'université, il se fait couper les vivres par son père. Ses amis l'aident alors à organiser des fêtes souvent débridées pour payer ses frais de scolarité. La grande popularité de l'étudiant attire l'attention du rédacteur en chef du journal du campus, qui charge Gwen Pearson de traquer l'homme derrière le phénomène Van Wilder. Le principal intéressé a aussitôt le béguin pour la jolie journaliste qui, pour sa part, ne reste pas longtemps indifférente à ses charmes. Ce qui n'est pas sans éveiller la jalousie du petit ami de Gwen, Richard Bagg, qui tentera par tous les moyens de faire expulser Van de l'université.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après CLASS REUNION et SENIOR TRIP, les concepteurs de la série National Lampoon, inaugurée en 1978 avec ANIMAL HOUSE dans lequel jouait déjà Tim Matheson, renouent avec la comédie de campus en l'adaptant au goût du jour. Fidèle à la tradition, VAN WILDER repose sur un scénario mince qui n'est qu'un prétexte pour enfiler les péripéties puériles et les quiproquos à caractère sexuel. L?humour outrancier d?un goût douteux s?apparente à celui des récentes comédies pour adolescents telles AMERICAN PIE et ROAD TRIP. Le ton est donné dès le premier plan avec un gag visuel faisant référence à une fellation. Puis, au fil d?une mise en scène routinière, se succèdent des scènes inégales où l?on exploite des sujets tels l?éjaculation précoce, l?homosexualité latente et la chasteté. Évidemment, l?ensemble ne serait pas complet sans une touche de scatologie. Restent le charisme de Ryan Reynolds, le sex-appeal de Tara Reid et des comédiens de soutien qui n?ont pas peur du ridicule. Pour les nostalgiques, mentionnons aussi les apparitions de Curtis Armstrong, le Booger de REVENGE OF THE NERDS, et de Paul Gleason, qui interprétait le professeur surveillant dans THE BREAKFAST CLUB.

Texte : Manon Dumais

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