Go to main content
3

Le Dernier Coup de monsieur Bob (The Good Thief)

G.-B. 2002. Drame policier de Neil Jordan avec Nick Nolte, Tcheky Karyo, Saïd Taghmaoui. Un cambrioleur américain, toxicomane et ruiné, participe à un vol de tableaux dans un casino de Monte-Carlo. Description teintée d'humour d'un milieu glauque et violent. Intrigue complexe pleine de rebondissements. Mise en scène inventive. Très bonne interprétation de N. Nolte.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
3

Le Dernier Coup de monsieur Bob (The Good Thief)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

G.-B. 2002. Drame policier de Neil Jordan avec Nick Nolte, Tcheky Karyo, Saïd Taghmaoui.

Un cambrioleur américain, toxicomane et ruiné, participe à un vol de tableaux dans un casino de Monte-Carlo. Description teintée d'humour d'un milieu glauque et violent. Intrigue complexe pleine de rebondissements. Mise en scène inventive. Très bonne interprétation de N. Nolte.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Cambrioleur toxicomane et joueur compulsif, l'Américain Bob Montagnet s'est réfugié dans le sud de la France. Il fréquente assidûment les milieux de la drogue et des jeux illégaux, faisant ainsi la connaissance d'Anne, une jeune fille d'Europe de l'Est sous la coupe du proxénète Rémi. Lors d'une descente de police, l'Américain sauve la vie de Roger, un détective depuis longtemps à ses trousses et avec qui il entretient une curieuse complicité. Ayant tout perdu lors d'une course de chevaux, Bob accepte de participer à un important vol de tableaux dans un casino de Monte-Carlo, mais il entreprend d'abord une difficile cure de désintoxication. Or, la mise en place de ce coup audacieux va vite se révéler pleine de surprises.

L’AVIS DE MEDIAFILM

S'inspirant librement du film de Jean-Pierre Melville BOB LE FLAMBEUR (1956), le cinéaste irlandais Neil Jordan retrouve avec THE GOOD THIEF les ambiances troubles, les intrigues complexes et les personnages ambigus qui avaient fait le succès de MONA LISA et THE CRYING GAME. Si on dénote peu d'éléments tirés de l'oeuvre originale, Jordan a toutefois conservé certains paradoxes du protagoniste, dont son tempérament autodestructeur, en plus de maintenir l'action dans un cadre typiquement français, ici Nice et Monte-Carlo. Le scénario multiplie les faux-semblants, déploie une galerie de personnages, dont certains sont toutefois à peine esquissés, alors que la mise en scène, particulièrement inventive, installe un climat glauque et violent pour peu à peu laisser place à une légèreté tout à fait séduisante. Les rebondissements sont bien sûr nombreux, accompagnés très souvent de joyeuses invraisemblances. La distribution, dominée par un Nick Nolte parfaitement crédible en héros déchu, constitue une véritable mosaïque internationale où se côtoient Emir Kusturica, Saïd Taghmaoui et Tcheky Karyo, ainsi que Ralph Fiennes dans un petit rôle percutant.

Texte : André Lavoie

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3