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The Goddess of 1967

Aust. 2000. Drame psychologique de Clara Law avec Rose Byrne, Rikiya Kurokawa, Nicholas Hope. Une jeune aveugle accompagne un Japonais qui se rend dans l'arrière-pays australien pour régler l'achat d'une voiture de collection. Variations insolites sur des thèmes classiques du road-movie. Touches d'humour. Images d'une beauté saisissante. Interprétation sensible de R. Byrne.

16 ans +
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The Goddess of 1967 (The Goddess of 1967)

16 ans + 16 ans +

Aust. 2000. Drame psychologique de Clara Law avec Rose Byrne, Rikiya Kurokawa, Nicholas Hope.

Une jeune aveugle accompagne un Japonais qui se rend dans l'arrière-pays australien pour régler l'achat d'une voiture de collection. Variations insolites sur des thèmes classiques du road-movie. Touches d'humour. Images d'une beauté saisissante. Interprétation sensible de R. Byrne.

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Les Films Séville
Récompenses
Un jeune collectionneur japonais branché, yuppie et plus ou moins honnête, achète sur Internet la voiture de ses rêves, une Citroën DS 1967 rose bonbon. Il se rend en Australie pour prendre possession de sa «déesse» mais à son arrivée, il apprend que le vendeur a tué sa femme avant de s'enlever la vie. La nièce du défunt, une jeune fille aveugle, offre alors au visiteur de le conduire au vrai propriétaire de la Citroën, qui habite dans l'arrière-pays. Au cours de cette expédition de plusieurs jours, le Japonais et l'Australienne se rapprochent et finissent par se confier leurs secrets les plus intimes et les plus douloureux.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce film de Clara Law, une réalisatrice de Hong-Kong vivant en Australie, comporte tous les éléments classiques du road-movie: un contexte naturel époustouflant dans un coin retiré du monde, un soleil de plomb, un périple à huis clos entre deux personnages écorchés vifs, mus par le besoin impérieux de fuir famille ou société. Avec, pour conséquence inéluctable, une quête initiatique qui fait s?unir les protagonistes contre l?adversité. Or, si le fond de cette histoire insolite a des résonances connues, elle est par contre admirablement servie par la richesse des images, qui offrent une palette de couleurs contrastées et saisissantes, des ciels d'un bleu acidulé aux flamboyants sols sablonneux. Le côté high tech du Japonais, de même que la cécité de l?Australienne, ajoutent des variantes intéressantes à ce récit, donnant lieu à des moments d?un humour caustique. L'intrigue comporte malheureusement des longueurs et manque parfois de cohérence, tandis que le montage aurait gagné à être plus serré. Par sa présence et sa vulnérabilité, Rose Byrne se distingue de l?ensemble des interprètes.

Texte : Anne-Marie Cloutier

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