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Unité spéciale: Le Combat absolu (Universal Soldier: The Return)

É.-U. 1999. Science-fiction de Mic Rodgers avec Jean-Claude Van Damme, Michael Jai White, Heidi Schanz. Un supersoldat affronte un ordinateur qui s'est réincarné dans le corps d'un autre militaire. Suite tardive d'un film de 1992. Scénario désolant prétexte à des affrontements très violents. Réalisation sans âme. Jeu insupportable de J.-C. Van Damme.

13 ans + (violence)
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Unité spéciale: Le Combat absolu (Universal Soldier: The Return)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 1999. Science-fiction de Mic Rodgers avec Jean-Claude Van Damme, Michael Jai White, Heidi Schanz.

Un supersoldat affronte un ordinateur qui s'est réincarné dans le corps d'un autre militaire. Suite tardive d'un film de 1992. Scénario désolant prétexte à des affrontements très violents. Réalisation sans âme. Jeu insupportable de J.-C. Van Damme.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Columbia
Mort au Vietnam mais ressuscité par l'armée américaine, Luc Deveraux est le seul survivant d'un commando de supersoldats qui étaient programmés pour tuer. Il travaille maintenant sur une nouvelle génération de ces soldats contrôlés par le super-ordinateur SETH. Mais les crédits venant à manquer, l'armée met fin au programme. SETH se révolte aussitôt et parvient à se réincarner dans le corps d'un soldat. Le cyborg cherche alors à capturer Deveraux, le seul à connaître le code secret qui empêchera son auto-destruction. Mais Luc a un autre plan.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Depuis quelques années, la carrière du pugiliste belge Jean-Claude Van Damme s'effrite au point où certains de ses films sortent directement en vidéo (comme LÉGIONNAIRE). Ce n'est sûrement pas cette suite tardive (l'original remonte à 1992) qui va raviver son étoile. Le scénario, d'une désolante indigence, ne fait que reprendre les grandes lignes du premier film et n'est qu'un prétexte pour aligner des affrontements d'une violence inouïe, irrationnelle et gratuite. Les auteurs vont même jusqu'à plagier le finale de TERMINATOR 2: JUDGMENT DAY. Tout cela repose sur une réalisation sans âme, dépourvue de style et d'invention. La bande sonore s'avère particulièrement tonitruante et l'emploi mur à mur de chansons "heavy metal" ne fait qu'abrutir encore plus le spectateur déjà confronté à des péripéties totalement invraisemblables. Mais c'est le jeu exécrable des acteurs qui assène le coup final à cette entreprise mercantile. La performance de Van Damme est tellement insupportable qu'elle en devient risible.

Texte : André Caron

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