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Un Baiser, enfin! (Never Been Kissed)

É.-U. 1999. Comédie sentimentale de Raja Gosnell avec Drew Barrymore, David Arquette, Michael Vartan. Aux fins d'un reportage, une jeune journaliste maladroite se fait passer pour une élève dans une école secondaire. Humour facile et rarement efficace. Moments dramatiques émouvants. Réalisation standard mais vivante. Jeu inégal de D. Barrymore.

Général
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Un Baiser, enfin! (Never Been Kissed)

Général Général

É.-U. 1999. Comédie sentimentale de Raja Gosnell avec Drew Barrymore, David Arquette, Michael Vartan.

Aux fins d'un reportage, une jeune journaliste maladroite se fait passer pour une élève dans une école secondaire. Humour facile et rarement efficace. Moments dramatiques émouvants. Réalisation standard mais vivante. Jeu inégal de D. Barrymore.

Année :
Durée :
Réalisation :
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Distributeur :
20th Century Fox
Assistante à l'édition dans un quotidien de Chicago, Josie Geller accepte avec enthousiasme sa première assignation de reporter, qui consiste à enquêter sur les moeurs des adolescents en se faisant passer pour une élève dans une école secondaire. Mais Josie se rappelle alors sa propre adolescence, faite de rejets et de cruelles humiliations. Toujours aussi maladroite, elle s'efforce pourtant de réparer les fautes du passé. Et pour la première fois de sa vie, elle croit avoir trouvé le véritable amour, en la personne de son séduisant professeur d'anglais.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Que ferions-nous si nous avions la possibilité de revivre certains épisodes de notre jeunesse, mais avec notre expérience acquise au fil des années? En posant ainsi le problème, ce film parvient non seulement à accrocher le public adolescent, mais également à toucher une corde sensible chez les adultes; une manière plutôt habile d'augmenter son auditoire. Mais en définitive, on se doit d'admettre que l'humour s'avère assez facile et peu efficace, hormis lors de quelques passages plus amusants. D'autre part, les éléments sentimentaux du récit apparaissent plutôt forcés, à l'instar des interventions souvent incongrues ou peu crédibles des membres de l'entourage adulte de la protagoniste. Mais lors des scènes plus dramatiques où cette dernière vit des moments de désarroi émotif, le film acquiert davantage d'authenticité, grâce en grande partie au jeu senti de Drew Barrymore. En revanche, celle-ci rate lamentablement la plupart de ses effets comiques. L'ensemble s'avère assez rythmé et vivant, à défaut d'avoir été tourné avec une grande créativité.

Texte : Louis-Paul Rioux

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