The Life Before This

Name: Life Before This, The
Director: Jerry Ciccoritti
Genre: Drame de moeurs
Duration: 92 min.

Can. 1999. Drame de moeurs de Jerry Ciccoritti avec Catherine O'Hara, Sarah Polley, Stephen Rea. Une journée dans la vie de différents personnages qui se retrouvent le soir venu dans un café où va se dérouler une fusillade. Exercice narratif assez vain et artificiel. Multitude d'intrigues peu approfondies. Réalisation fort honnête. Solide équipe d'interprètes.

The Life Before This (The Life Before This)

13 ans +

Can. 1999. Drame de moeurs de Jerry Ciccoritti avec Catherine O'Hara, Sarah Polley, Stephen Rea.

Une journée dans la vie de différents personnages qui se retrouvent le soir venu dans un café où va se dérouler une fusillade. Exercice narratif assez vain et artificiel. Multitude d'intrigues peu approfondies. Réalisation fort honnête. Solide équipe d'interprètes.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1999

Durée :

92 min.

Réalisation :

Jerry Ciccoritti

Pays :

Canada

Distributeur :

Alliance Vivafilm

Interprètes :

Catherine O'Hara
Sarah Polley
Stephen Rea

Récompenses

Plusieurs clients sont blessés ou tués lors d'une fusillade dans un café de Toronto. Des victimes innocentes qui se trouvaient au mauvais endroit, au mauvais moment. On remonte alors dans le temps, jusqu'au matin du drame, pour faire connaissance avec chacun de ces personnages et découvrir les événements qui ont marqué cette journée fatidique. On découvre les choix qui s'offraient à eux et quelles décisions auraient pu éventuellement modifier le cours de leur vie. Le soir venu, la fusillade se répète, mais avec quelques variations...

L’AVIS DE MEDIAFILM

Plusieurs films récents ont abordé les thèmes du destin et du hasard à travers des scénarios où les auteurs s'amusent à briser les règles du temps en présentant différentes versions possibles d'un même récit (SLIDING DOORS, COURS LOLA COURS, TWICE UPON A YESTERDAY). Malheureusement, dans THE LIFE BEFORE THIS, l'auteur présente deux conclusions différentes mais ne raconte en détails qu'une seule des deux versions possibles de son récit. Impossible pour le spectateur, donc, de comparer les histoires et de s'amuser aux jeux du destin auquel il se croyait convié. L'exercice paraît donc assez vain et artificiel, surtout que ce scénario dispersé en une multitude d'intrigues ne réussit jamais à approfondir suffisamment les drames vécus par les personnages. Il y a pourtant ici et là quelques scènes bien écrites et le réalisateur, dont la mise en scène est fort honnête, a le mérite d'avoir réuni une équipe d'interprètes solides. L'ensemble s'avère ambitieux, à la manière des fresques sociales d'un Altman, mais sans posséder la maturité et la virtuosité du grand cinéaste américain.

Texte : Martin Girard

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