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Tequila Body Shots

É.-U. 1999. Drame d'horreur de Tony Shyu avec Joey Lawrence, Dru Mouser, Nathan Anderson. Un groupe de jeunes Américains en séjour au Mexique pour fêter l'Halloween se retrouve confronté à un être maléfique. Mélange totalement imbuvable de comédie juvénile et d'horreur de pacotille. Effets primitifs. Réalisation inepte. Interprètes laissés à eux-mêmes.

13 ans + (langage vulgaire)
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Tequila Body Shots (Tequila Body Shots)

13 ans + (langage vulgaire) 13 ans + (langage vulgaire)

É.-U. 1999. Drame d'horreur de Tony Shyu avec Joey Lawrence, Dru Mouser, Nathan Anderson.

Un groupe de jeunes Américains en séjour au Mexique pour fêter l'Halloween se retrouve confronté à un être maléfique. Mélange totalement imbuvable de comédie juvénile et d'horreur de pacotille. Effets primitifs. Réalisation inepte. Interprètes laissés à eux-mêmes.

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Dans un bar, les étudiants Johnny, Paul et Al font la connaissance de Tamlyn, accompagnée d'Angela et Linda. Peu après, le petit groupe se rend à Mexico pour un party d'Halloween. Mais sur place, Paul et Al souffrent d'indigestion. Heureusement, ils peuvent compter sur les prescriptions spéciales du sorcier Doc. Celui-ci fait également avaler à Johnny une potion pour l'aider dans sa vie amoureuse. Grâce à cette mixture, le jeune homme peut entendre les pensées des gens qui l'entourent. Il en vient ainsi à découvrir qu'un esprit maléfique menace Tamlyn.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Mélange totalement imbuvable de comédie juvénile et d'horreur de pacotille, TEQUILA BODY SHOTS constitue une véritable épreuve pour le spectateur. L'amateurisme de l'entreprise se constate à tous les niveaux. D'abord dans un scénario maladroitement construit, bourré de clichés et d'incohérences, qui bat en rappel les effets les plus primitifs du cinéma fantastique et les gags les plus simplistes qu'on puisse imaginer. Tout cela sans parler des nombreux stéréotypes insultants que l'auteur utilise pour évoquer le contexte et le peuple mexicains. La réalisation ne rachète pas les lacunes du scénario, bien au contraire. Jamais convaincante, toujours inepte, la mise en scène porte la marque d'un cinéaste sans expérience et visiblement sans talent, dont la faute principale est de ne pas savoir s'il veut tourner une comédie ou un film de terreur. Quant aux pauvres interprètes compromis dans cette navrante entreprise, ils sont évidemment laissés à eux-mêmes et doivent débiter des dialogues d'une niaiserie gênante.

Texte : Martin Girard

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