Go to main content
5

Le Treizième Étage (The Thirteenth Floor)

É.-U. 1999. Science-fiction de Josef Rusnak avec Craig Bierko, Gretchen Mol, Vincent D'Onofrio. Un informaticien se projette dans un Los Angeles virtuel afin de trouver le meurtrier de l'inventeur de cet univers artificiel. Idée de départ captivante à souhait. Développements confus et arbitraires. Réalisation éparpillée. Interprétation artificielle.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
5

Le Treizième Étage (The Thirteenth Floor)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 1999. Science-fiction de Josef Rusnak avec Craig Bierko, Gretchen Mol, Vincent D'Onofrio.

Un informaticien se projette dans un Los Angeles virtuel afin de trouver le meurtrier de l'inventeur de cet univers artificiel. Idée de départ captivante à souhait. Développements confus et arbitraires. Réalisation éparpillée. Interprétation artificielle.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Distributeur :
Columbia
Après le meurtre du visionnaire Hannon Fuller, l'informaticien Douglas Hall est surpris d'apprendre que, peu avant sa mort, ce dernier s'était projeté dans le monde virtuel du Los Angeles de 1937 qu'il avait inventé. Hall tente lui-même l'expérience et découvre une lettre que Fuller lui avait adressée. Pendant ce temps, le détective McBain soupçonne Hall d'avoir tué son patron, mais l'arrivée soudaine de Jane Fuller, la fille du défunt, vient brouiller les cartes.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Se situant à mi-chemin entre THE MATRIX, DARK CITY, BRAINSTORM et THE WIZARD OF OZ (!), ce film de science-fiction, qui utilise le concept à la mode de la création d'un monde virtuel, repose tout de même sur une idée de départ captivante à souhait. Cependant, les développements de l'intrigue progressent de façon confuse et arbitraire à mesure que le récit oscille d'un monde à l'autre. Le propos devient nébuleux et la surprise finale n'étonne pas, car la complexité du début s'est transformé en banalité. Les auteurs s'égarent en cours de route dans des effets répétitifs et ne parviennent pas à créer des personnages véritablement consistants. Si la reconstitution d'époque s'avère assez réussie, la vision futuriste de Los Angeles en 2024 manque de panache. Quant à la réalisation, elle se révèle suffisamment énergique mais elle a tendance à s'éparpiller dans des scènes d'action plutôt gratuites. La vacuité des personnages entraîne forcément une interprétation d'ensemble artificielle et détachée.

Texte : André Caron

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3