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La Fin des temps (End of Days)

É.-U. 1999. Drame fantastique de Peter Hyams avec Arnold Schwarzenegger, Gabriel Byrne, Robin Tunney. À trois jours de l'an 2000, un détective doit empêcher Satan d'enfanter l'Antéchrist avec une jeune New-yorkaise. Parfum d'apocalypse frelaté. Scénario stupide. Enfilade démesurée d'effets pyrotechniques. Jeu insipide de la vedette.

13 ans + (violence, horreur)
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La Fin des temps (End of Days)

13 ans + (violence, horreur) 13 ans + (violence, horreur)

É.-U. 1999. Drame fantastique de Peter Hyams avec Arnold Schwarzenegger, Gabriel Byrne, Robin Tunney.

À trois jours de l'an 2000, un détective doit empêcher Satan d'enfanter l'Antéchrist avec une jeune New-yorkaise. Parfum d'apocalypse frelaté. Scénario stupide. Enfilade démesurée d'effets pyrotechniques. Jeu insipide de la vedette.

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Le détective privé Jericho Cane n'a plus le goût de vivre depuis le meurtre de sa femme et de sa fille. Chaque matin, il essaie de se suicider. Mais le 29 décembre 1999, à trois jours de l'an 2000, il est chargé de protéger un homme mystérieux qu'un prêtre tente d'assassiner. Jericho découvre que l'homme est en fait Satan venu sur Terre pour enfanter l'Antéchrist avec sa promise, la New-yorkaise Christine York. Jericho doit alors trouver la jeune femme et empêcher le prince des ténèbres de provoquer la fin des temps.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Arnold Schwarzenegger effectue un retour au cinéma après une absence de deux ans (depuis BATMAN & ROBIN). Il aurait pu dénicher un projet plus solide que cet absurde salmigondis religieux, composé de régurgitations superstitieuses et forcées sur la croyance au diable. Dégageant un parfum d'apocalypse frelaté qui s'inspire des trois films de la série THE OMEN, le scénario se révèle en effet d'une rare indigence et s'amuse en fait à enfiler une série de scènes d'action spectaculaires, certes, mais totalement inappropriées dans le contexte fantastique de la prémisse (la procréation de l'Antéchrist). Tout en se prenant terriblement au sérieux, le réalisateur sombre progressivement dans une illustration grossière, sans aucune nuance. Techniquement au point, sa mise en scène se complaît cependant pompeusement dans une brochette d'effets pyrotechniques démesurés qui frappent l'écran avec la subtilité d'un tremblement de terre. Il n'y a rien de positif à retirer de cette expérience navrante, surtout pas le jeu insipide de la vedette.

Texte : André Caron

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