Go to main content
5

Jacob Two Two Meets the Hooded Fang

Can. 1999. Comédie musicale de George Bloomfield avec Max Morrow, Gary Busey, Miranda Richardson. Un garçonnet craintif rêve qu'il est enfermé dans une prison pour enfants sur une île dirigée par un méchant lutteur. Adaptation d'un roman de Mordecai Richler. Quelques moments drolatiques. Numéros musicaux rarement réussis. Interprétation souvent outrée.

Général
5

Jacob Two Two Meets the Hooded Fang (Jacob Two Two Meets the Hooded Fang)

Général Général

Can. 1999. Comédie musicale de George Bloomfield avec Max Morrow, Gary Busey, Miranda Richardson.

Un garçonnet craintif rêve qu'il est enfermé dans une prison pour enfants sur une île dirigée par un méchant lutteur. Adaptation d'un roman de Mordecai Richler. Quelques moments drolatiques. Numéros musicaux rarement réussis. Interprétation souvent outrée.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Atlantis Vivafilm
Récompenses
Jacob Two Two est un garçon de six ans qui répète toujours deux fois la même chose pour s'assurer d'être bien entendu. Chargé par son père d'acheter deux tomates, le gamin se fait taquiner par l'épicier et les clients, qui lui font croire qu'il sera arrêté pour impolitesse. Fuyant dans la cave, Jacob se cogne la tête et tombe inconscient. Il rêve alors qu'il est condamné à une peine de deux ans dans une prison pour enfants sur une île constamment plongée dans le brouillard, dirigée par le méchant lutteur Hooded Fang.

L’AVIS DE MEDIAFILM

C'est la seconde adaptation du conte pour enfants de Mordecai Richler, après celle réalisée en 1978 par Theodore J. Flicker. Cette nouvelle version prend toutefois la forme d'une comédie musicale, et il faut avouer que ce choix artistique n'est pas des plus heureux, les paroles des chansons s'avérant trop souvent banales et leur illustration manquant de relief. Par ailleurs, le récit reprend habilement le principe de WIZARD OF OZ, les personnages du quotidien du héros se retrouvant transformés par son imaginaire en protagonistes de son mauvais rêve. De plus, le film délivre un message valable, à savoir qu'il faut s'affirmer dans la vie tout en suivant sa vraie nature. Cependant, après un début fort prometteur, mis en scène de façon dynamique et adoptant un ton drolatique, l'action se met à stagner lors du séjour en prison, qui possède d'ailleurs des décors sinistres risquant d'effrayer les tout-petits. Lors de ces séquences, filmées plus mollement, le manque de moyens de la production devient plus évident. Le petit Max Morrow est assez convaincant, mais la plupart de ses partenaires adultes forcent trop leur jeu.

Texte : Louis-Paul Rioux

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3