Drôle de père (Big Daddy)

Name: Drôle de père
Director: Dennis Dugan
Genre: Comédie
Duration: 94 min.

É.-U. 1999. Comédie de Dennis Dugan avec Adam Sandler, Joey Lauren Adams, Cole Sprouse. Un jeune homme irresponsable accepte de jouer le rôle du père de l'enfant illégitime de son colocataire. Vision fantasque de la paternité. Dialogues parfois amusants. Situations tirées par les cheveux. Réalisation adéquate. Jeu truculent d'A. Sandler.

Drôle de père (Big Daddy)

Général

É.-U. 1999. Comédie de Dennis Dugan avec Adam Sandler, Joey Lauren Adams, Cole Sprouse.

Un jeune homme irresponsable accepte de jouer le rôle du père de l'enfant illégitime de son colocataire. Vision fantasque de la paternité. Dialogues parfois amusants. Situations tirées par les cheveux. Réalisation adéquate. Jeu truculent d'A. Sandler.

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Genre :

Comédie

Année :

1999

Durée :

94 min.

Réalisation :

Dennis Dugan

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Columbia

Interprètes :

Adam Sandler
Joey Lauren Adams
Cole Sprouse

Sonny Koufax, jeune adulte irresponsable, se fait larguer par sa petite amie, qui lui reproche notamment son manque de maturité. Un jour, les services sociaux frappent à sa porte et lui amènent un petit garçon de cinq ans, Julian, que son coloc Kevin a eu d'une obscure liaison. Voulant couvrir Kevin, qui doit se marier prochainement, Sonny accepte de se faire passer pour le père de l'enfant, voyant là l'occasion à la fois de faire une nouvelle conquête féminine et de prendre enfin certaines responsabilités.

L’AVIS DE MEDIAFILM

En dépit de quelques situations tirées par les cheveux, cette vision fantasque et presque délinquante de la paternité se révèle assez amusante, notamment par la relation père/fils peu orthodoxe qu'elle présente, ses dialogues truculents et sa réalisation adéquate pour le genre. Cela dit, l'humour de ce drôle de père ne donne pas toujours dans la subtilité et la distinction. Dommage aussi que le dénouement verse dans un certain moralisme inutile. Retrouvant ici le réalisateur d'un de ses premiers films (HAPPY GILMORE), la vedette principale Adam Sandler trouve ici un véhicule à sa mesure pour donner libre cours à sa verve caractéristique, tout en évitant de se faire éclipser par le personnage de l'enfant. Chose bizarre, ce dernier rôle a été confié à des jumeaux identiques utilisés de façon à peu près égale et dont la présence et le naturel respectifs ravissent incontestablement l'auditoire.

Texte : Jean Beaulieu

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