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Ces chers Ryan (The Divine Ryans)

Can. 1999. Drame de Stephen Reynolds avec Jordan Harvey, Robert Joy, Pete Postlethwaite. Un garçon de neuf ans est hanté par d'étranges apparitions de son père qui est mort dans des circonstances troubles. Scénario lourd et mal construit. Quelques éléments pittoresques. Personnages schématiques. Réalisation appliquée. Interprétation honnête.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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Ces chers Ryan (The Divine Ryans)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

Can. 1999. Drame de Stephen Reynolds avec Jordan Harvey, Robert Joy, Pete Postlethwaite.

Un garçon de neuf ans est hanté par d'étranges apparitions de son père qui est mort dans des circonstances troubles. Scénario lourd et mal construit. Quelques éléments pittoresques. Personnages schématiques. Réalisation appliquée. Interprétation honnête.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
France-Film
Draper Doyle, un garçon de neuf ans, a perdu son père dans des circonstances troublantes. L'enfant et sa mère dépendent maintenant de la famille Ryan, une des plus riches de St.John's, Terre-Neuve. Le clan est dominé par Phil, la tante de Draper Doyle, une femme autoritaire qui s'ingère volontiers dans l'éducation du garçon, malgré les protestations de sa mère Linda. Hanté par d'étranges apparitions de son père, qui lui a transmis son amour du hockey, Draper Doyle trouvera le moyen pour que sa mère et lui s'affranchissent des Ryan.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'écrivain canadien Wayne Johnston a lui-même adapté son roman à l'écran et on est en droit de se demander s'il n'aurait pas dû demander l'aide d'un scénariste plus aguerri. Le rythme incertain de l'intrigue et le flou des enjeux dramatiques viennent s'ajouter à la lourdeur des aspects oniriques qui émaillent de façon arbitraire et artificielle ce récit mal construit. Certains éléments ne manquent pas de pittoresque ou de saveur, mais l'ensemble ne parvient jamais à lever. Dans ces conditions, le réalisateur ne peut pas faire de miracles. Il se contente donc d'utiliser les lieux de tournage de façon assez évocatrice et de diriger ses comédiens avec le plus d'application possible. Ces derniers font de leur mieux avec des personnages dessinés de façon schématique et en fin de compte pas très intéressants.

Texte : Martin Girard

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