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Carrie 2: La Rage (The Rage: Carrie 2)

É.-U. 1999. Drame fantastique de Katt Shea avec Emily Bergl, Jason London, Dylan Bruno. Une étudiante douée de pouvoirs télékinétiques exerce une terrible vengeance sur des camarades de classe cruels. Suite très inférieure au film original. Scénario facile. Réalisation maladroite. Interprétation assez sensible d'E. Bergl.

13 ans + (horreur)
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Carrie 2: La Rage (The Rage: Carrie 2)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

É.-U. 1999. Drame fantastique de Katt Shea avec Emily Bergl, Jason London, Dylan Bruno.

Une étudiante douée de pouvoirs télékinétiques exerce une terrible vengeance sur des camarades de classe cruels. Suite très inférieure au film original. Scénario facile. Réalisation maladroite. Interprétation assez sensible d'E. Bergl.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
MGM
Rachel est une étudiante d'école secondaire au tempérament solitaire dont la seule amie, Lisa, vient de se suicider. L'adolescente découvre que sa copine se serait donné la mort après avoir été humiliée par les joueurs de l'équipe de football de l'école. Or, voilà que Rachel devient à son tour la cible des jeux cruels de ces garçons. Ceux-ci ignorent cependant que leur victime possède des dons de télékinésie, ce qui lui permet de déplacer les objets par la force de sa pensée. Lors d'une soirée dansante, Rachel exercera une terrible vengeance sur ses bourreaux.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce n'est pas d'une suite au film de Brian de Palma dont il faudrait parler, mais presque d'un remake. En effet, l'intrigue reprend sans vergogne les principaux éléments du film original en se contentant de changer légèrement le contexte. La force de CARRIE, tant sur le plan esthétique que dramatique, se situe à des années-lumière de cette piètre imitation aux effets incroyablement maladroits. Du reste, seuls des motifs commerciaux pouvaient justifier la production de cette suite, puisque le personnage de Carrie mourait à la fin du film de 1976. Une pirouette simpliste permet aux auteurs de THE RAGE d'établir un lien entre leur héroïne et celle qu'interprétait si brillamment Sissy Spacek, que l'on revoit ici dans des flash-back reprennant des images du film de De Palma. Ce sont d'ailleurs les meilleurs moments de THE RAGE... La jeune Emily Bergl joue avec une certaine sensibilité, mais ne parvient pas à faire oublier Spacek.

Texte : Martin Girard

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