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Allergique à l'amour (Love Stinks)

É.-U. 1999. Comédie de Jeff Franklin avec French Stewart, Bridgette Wilson-Sampras, Bill Bellamy. Un auteur de comédies télévisées s'engage dans une relation houleuse avec une jeune femme obsédée par le mariage. Enfilade de platitudes. Réalisation manquant de finesse. Jeu appuyé des comédiens.

13 ans + (langage vulgaire)
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Allergique à l'amour (Love Stinks)

13 ans + (langage vulgaire) 13 ans + (langage vulgaire)

É.-U. 1999. Comédie de Jeff Franklin avec French Stewart, Bridgette Wilson-Sampras, Bill Bellamy.

Un auteur de comédies télévisées s'engage dans une relation houleuse avec une jeune femme obsédée par le mariage. Enfilade de platitudes. Réalisation manquant de finesse. Jeu appuyé des comédiens.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Pays :
Distributeur :
France-Film
Au mariage d'un de ses amis, l'auteur de "sitcoms" Seth fait la rencontre de la femme de ses rêves, la superbe blonde Chelsea Turner. Le courant passe entre les deux, si bien qu'ils quittent les noces pour aller jouer une partie de mini-golf et prendre un repas au restaurant, le tout suivi d'une nuit d'amour bien méritée. Chelsea vient bientôt habiter avec Seth et parle de mariage. Mais lorsque celui-ci hésite à faire le saut, même après plusieurs mois de relation avec Chelsea, la jeune femme devient une véritable harpie et transforme la vie de Seth en cauchemar.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Écrit et réalisé par un auteur de "sitcoms", cette comédie met justement en vedette un comédien (French Stewart) qui s'est fait connaître dans une émission de ce genre. Dans LOVE STINKS, Stewart joue un personnage moins exubérant que l'extraterrestre qu'il incarne au petit écran dans la série THIRD ROCK FROM THE SUN. Et on le regrette, car cela aurait peut-être permis à cette comédie insipide d'offrir un ou deux sourires au spectateur. À la place, ce dernier aura droit à une enfilade de platitudes où l'auteur s'amuse à accumuler les pires clichés sur la femme prédatrice obsédée par le mariage. Ce film résolument misogyne ne parvient même pas à tirer profit, sur le plan de l'humour, de son non-respect de la rectitude politique. Il s'agit donc d'un gâchis sur toute la ligne. La réalisation manque totalement de finesse et le jeu des interprètes s'avère appuyé sans être le moindrement drôle.

Texte : Martin Girard

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