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Virus

É.-U. 1998. Science-fiction de John Bruno avec Jamie Lee Curtis, Donald Sutherland, William Baldwin. L'équipage d'un remorqueur découvre en haute mer un navire russe dont les occupants ont été décimés par une force extraterrestre. Aucune idée neuve dans le scénario. Suspense modéré. Technique solide. Interprètes rompus au genre.

13 ans + (violence, horreur)
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Virus (Virus)

13 ans + (violence, horreur) 13 ans + (violence, horreur)

É.-U. 1998. Science-fiction de John Bruno avec Jamie Lee Curtis, Donald Sutherland, William Baldwin.

L'équipage d'un remorqueur découvre en haute mer un navire russe dont les occupants ont été décimés par une force extraterrestre. Aucune idée neuve dans le scénario. Suspense modéré. Technique solide. Interprètes rompus au genre.

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L'équipage d'un remorqueur découvre en haute mer un navire russe dont tous les occupants semblent avoir été décimés par une force mystérieuse. Il s'agit en fait d'une entité extraterrestre constituée d'un puissant courant électrique. Cette chose considère les humains comme un virus qu'il faut éliminer. De plus, la créature s'est fabriqué des corps biomécaniques en utilisant des morceaux de cadavres et de diverses machines. L'équipage du remorqueur constitue pour elle une nouvelle provision de pièces détachées.

L’AVIS DE MEDIAFILM

S'il fallait faire la liste de tous les films de science-fiction et d'horreur dans lesquels VIRUS va puiser des idées et des situations, nous n'aurions plus d'espace pour écrire quoi que ce soit d'autre. Pour gagner du temps, disons qu'il n'y a pratiquement aucune idée nouvelle dans ce film routinier. Il faut attendre presque une heure avant que ne débute véritablement l'affrontement entre les humains et la force extraterrestre. Pendant cette mise en train laborieuse, le cinéaste s'efforce de créer un certain suspense, mais cette longue entrée en matière paraît bien soporifique étant donné le caractère archiprévisible du scénario. Techniquement, il faut reconnaître que le film est solide et qu'il contient même, ici et là, quelques passages qui peuvent impressionner. Néanmoins, l'auteur ne démontre aucune personnalité dans le traitement des innombrables lieux communs auxquels il doit se mesurer. C'est du travail compétent mais anonyme. On peut en dire autant des interprètes, tous rompus à ce genre de rôles.

Texte : Martin Girard

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