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Un Dur Flic (One Tough Cop)

É.-U. 1998. Drame policier de Bruno Barreto avec Stephen Baldwin, Chris Penn, Gina Gershon. Ami d'enfance d'un mafioso et partenaire d'un flic alcoolique et joueur, un jeune policier intègre se démène pour ne pas couler avec eux. Récit intéressant mais sans surprises. Bon nombre de clichés. Réalisation de métier. Jeu solide des interprètes.

13 ans + (violence)
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Un Dur Flic (One Tough Cop)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 1998. Drame policier de Bruno Barreto avec Stephen Baldwin, Chris Penn, Gina Gershon.

Ami d'enfance d'un mafioso et partenaire d'un flic alcoolique et joueur, un jeune policier intègre se démène pour ne pas couler avec eux. Récit intéressant mais sans surprises. Bon nombre de clichés. Réalisation de métier. Jeu solide des interprètes.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
France-Film
Le policier new-yorkais Bo Dietl et son partenaire Duke Finnerty enquêtent sur le meurtre sordide d'une religieuse à Harlem, même si le cas est officiellement entre les mains d'une escouade spéciale d'enquêteurs. Par ailleurs, deux agents du FBI harcèlent Bo afin de le forcer à trahir son copain d'enfance Ritchie, une figure bien en vue de la pègre locale. Les problèmes s'accumulent lorsque Duke, qui boit trop, contracte une dette de jeu envers un mafioso et que Bo devient l'amant de Joey, l'ancienne maîtresse de Ritchie.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le producteur Martin Bregman n'est pas le dernier venu dans le domaine du cinéma policier, puisqu'on lui doit des productions comme SERPICO, DOG DAY AFTERNOON et SCARFACE. Avec ce nouveau film, Bregman revient au style de film policier à la Sidney Lumet, c'est-à-dire réaliste, très urbain (voire très new-yorkais) et plus porté vers la psychologie que vers l'action. Malheureusement, cette recette a fait école, notamment à la télévision (NYPD Blues), et ne présente aujourd'hui plus rien de nouveau. Et comme le scénario de ONE TOUGH COP est bien loin d'éviter les clichés (particulièrement dans l'inutile intrigue sentimentale), on se retrouve devant un produit sans surprises. Le récit demeure tout de même relativement prenant grâce au jeu solide des interprètes et à la qualité d'ensemble de l'écriture des dialogues. Bruno Barreto (FOUR DAYS IN SEPTEMBER) filme tout cela avec métier, dans un style efficace mais standard.

Texte : Martin Girard

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