Trois gars, une fille (Martha Meet Frank, Daniel and Laurence)

Name: Trois gars, une fille
Director: Nick Hamm
Genre: Comédie sentimentale
Duration: 88 min.

G.-B. 1998. Comédie sentimentale de Nick Hamm avec Monica Potter, Joseph Fiennes, Rufus Sewell. Trois amis londoniens s'éprennent sans le savoir de la même Américaine de passage. Bluette sans prétention jouant avec délectation sur les hasards et les coïncidences. Scénario plutôt bien construit. Quelques stéréotypes. Interprètes plus sympathiques que crédibles.

Trois gars, une fille (Martha Meet Frank, Daniel and Laurence)

Général

G.-B. 1998. Comédie sentimentale de Nick Hamm avec Monica Potter, Joseph Fiennes, Rufus Sewell.

Trois amis londoniens s'éprennent sans le savoir de la même Américaine de passage. Bluette sans prétention jouant avec délectation sur les hasards et les coïncidences. Scénario plutôt bien construit. Quelques stéréotypes. Interprètes plus sympathiques que crédibles.

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Genre :

Comédie sentimentale

Année :

1998

Durée :

88 min.

Réalisation :

Nick Hamm

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Alliance Vivafilm

Interprètes :

Monica Potter
Joseph Fiennes
Rufus Sewell

Martha, une jeune Américaine, a décidé d'aller tenter sa chance à Londres, où elle débarque sans argent mais pleine de rêves. Dans l'avion, elle fait la connaissance de Daniel, un producteur de disques arrogant et riche. A l'aéroport de Londres, la jeune femme rencontre Laurence, un professeur de bridge dont elle a immédiatement le coup de foudre. Plus tard, dans un parc, elle croise Frank, un jeune acteur sans emploi. Or, il se trouve que ces trois hommes, tous épris de la pétulante étrangère, se connaissent. Ils sont même d'excellents amis...

L’AVIS DE MEDIAFILM

Débarquant sur nos écrans à la suite (ou à cause?) du succès de NOTTING HILL, voici une autre gentille bluette mettant en amour Anglais et Américaine. Jouant avec délectation sur les hasards et coïncidences, le récit ne se dépare jamais d'un style proche des romans Harlequin, qu'il relève seulement d'un humour léger et de quelques comportements branchés dans lesquels il ne faut cependant pas rechercher de révélations sur l'état actuel du "marché de l'amour". Seules quelques connotations périphériques, au demeurant fort stéréotypées, peuvent prétendre faire figure de réflexion sociologique. Il reste que le scénario se révèle plutôt bien construit, profitant d'habiles retours en arrière et ne recourant nullement aux vulgarités auxquelles les comédies américaines nous ont habitués. Proche physiquement et dans son style de jeu de Julia Roberts (comme par hasard!), Monica Potter est entourée de trois partenaires plus sympathiques que réellement crédibles. Rien de très neuf donc; rien de bien méchant non plus; juste un agréable divertissement pour qui se sent un coeur de midinette.

Texte : Christian Depoorter

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