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The Players Club

É.-U. 1998. Drame de moeurs de Ice Cube avec Monica Calhoun, LisaRaye, Bernie Mac. Les tribulations d'une jeune mère qui doit travailler comme strip-teaseuse afin de payer ses études au collège. Scénario racoleur et mal construit. Ensemble assez coloré. Réalisation moyenne. Interprétation vigoureuse.

16 ans + (violence)
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The Players Club (The Players Club)

16 ans + (violence) 16 ans + (violence)

É.-U. 1998. Drame de moeurs de Ice Cube avec Monica Calhoun, LisaRaye, Bernie Mac.

Les tribulations d'une jeune mère qui doit travailler comme strip-teaseuse afin de payer ses études au collège. Scénario racoleur et mal construit. Ensemble assez coloré. Réalisation moyenne. Interprétation vigoureuse.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Diana, une mère célibataire qui rêve de devenir journaliste à la télévision, suit des cours au collège qu'elle paie en faisant du strip-tease au Players Club. La jeune femme partage son logement avec sa cousine Ebony qui devient elle aussi danseuse dans la boîte. Diana la prévient de se tenir loin de Ronnie, une collègue aux combines peu recommandables. Ebony n'en fait cependant qu'à sa tête et s'attire ainsi de gros ennuis. Pendant ce temps, le propriétaire du Players Club a maille à partir avec un créancier aux méthodes pour le moins expéditives.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le chanteur de musique rap et acteur Ice Cube signe ici son premier film en tant que réalisateur. Enrobés de bonnes intentions, le scénario se veut un hommage au courage, à la détermination et à la force d'une jeune mère qui danse nue pour payer ses études. La belle affaire! En réalité, le film d'Ice Cube exploite ce sujet à des fins purement racoleuses, mettant l'accent sur le sexe, la violence, le mélodrame et la comédie vulgaire. Tous les clichés se donnent rendez-vous dans un récit dispersé et mal construit. Heureusement, les péripéties ne manquent pas de variété et l'ensemble s'avère assez coloré et vivant, ce qui aide à faire avaler la pilule. De plus, les interprètes jouent avec vigueur et conviction, même si les personnages demeurent de véritables stéréotypes ambulants. Pour sa première réalisation, Ice Cube ne démontre pas beaucoup de style ou d'imagination, mais son directeur photo a suffisamment de métier pour conférer aux images un certain vernis.

Texte : Martin Girard

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