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Perdus dans l'espace (Lost in Space)

É.-U. 1998. Science-fiction de Stephen Hopkins avec Gary Oldman, William Hurt, Matt LeBlanc. Au milieu du XXIe siècle, un vaisseau spatial à la dérive s'échoue sur une étrange planète menacée de destruction. Scénario simpliste inspiré d'une série télévisée des années 1960. Déferlement d'effets spéciaux. Rythme assez vif. Interprétation peu nuancée.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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Perdus dans l'espace (Lost in Space)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 1998. Science-fiction de Stephen Hopkins avec Gary Oldman, William Hurt, Matt LeBlanc.

Au milieu du XXIe siècle, un vaisseau spatial à la dérive s'échoue sur une étrange planète menacée de destruction. Scénario simpliste inspiré d'une série télévisée des années 1960. Déferlement d'effets spéciaux. Rythme assez vif. Interprétation peu nuancée.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Alliance Vivafilm
Au milieu du 21e siècle, la Terre trop polluée agonise. Les humains doivent donc coloniser une autre planète. En mission préparatoire, les membres de la famille Robinson et le pilote Don West s'envolent pour la planète Alpha Prime. Mais il y a un traître à bord, le docteur Zachary Smith, dont le sabotage envoie le vaisseau à la dérive. Perdue dans une galaxie inconnue, l'expédition fera face à bien des dangers, incluant la découverte d'un vaisseau spatial infesté d'araignées extraterrestres et un naufrage sur une étrange planète menacée de destruction.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Créée par le producteur Irwin Allen en 1965, la série télévisée Lost in Space représente un des sommets de la culture kitsch et «campy» du petit écran. Les monstres de caoutchouc, les décors en carton-pâte, les couleurs agressives et les histoires d'une fantaisie débridée conféraient à la série un cachet particulier. On ne retrouve pas ce charme dans cette adaptation pour le grand écran, puisque les auteurs ont opté pour un style plus sérieux. Le kitsch se glisse néanmoins involontairement dans la conception des décors et des costumes, d'un mauvais goût indéniable. Pour le reste, il s'agit d'un festival presque ininterrompu d'effets spéciaux spectaculaires qui semblent vouloir compenser la minceur d'un scénario simpliste au possible. Le rythme est vif cependant, ce qui devrait permettre aux spectateurs bien disposés d'y trouver leur compte, en particulier les jeunes à qui le film semble être destiné. Les interprètes jouent sans grandes nuances des personnages peu développés. Il serait d'ailleurs temps que Gary Oldman laisse tomber les rôles de méchants caricaturaux afin d'élargir un peu son répertoire.

Texte : Martin Girard

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